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 Y'a pas de quoi se mettre en colère mon chou. [PV Meph/Elise]

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MessageSujet: Y'a pas de quoi se mettre en colère mon chou. [PV Meph/Elise]   Y'a pas de quoi se mettre en colère mon chou. [PV Meph/Elise] I_icon_minitimeMer 28 Aoû 2013 - 22:19

Quelque part dans Paris
Crépuscule

    - Ta gueule Elliot.

    Le gros chien typé dobermann à ses pieds couina lorsqu'il reçu la lourde chaussure dans le coin du museau. Elle n'en pouvait plus de voir ses grands yeux mouillés quémander le maigre bout de bidoche qu'elle avait réussi à chourer à un marchand en contrepartie d'une passe finement menée. Donner son cul pour 100gr de viande, autant dire qu'elle s'était faite baiser. Dans tout les sens du terme. Putain ! Ca faisait combien de temps qu'elle exerçait hein ? Et voilà qu'elle se faisait avoir comme une bleue. Et son énervement ne l'aidait pas à être plus gentille avec l'animal qui ne lui avait pourtant rien fait.

    Elle releva la tête en mâchonnant un bout de gras. En plus, ce putain de steak était nerveux et gras. Bravo ! Bravo Elise ! Et voilà que sa tête commençait à tambouriner. Terminé, elle ne pourrait plus rien avaler. Il lui fallait quelque chose pour planer un peu. Elle balança la fin de son bout de viande à Elliot qui le saisit de sa puissante machoîre, et le déchiqueta en trois coups de crocs.

    - Sinon, t'apprécies la nourriture où tu la gobes ? Abruti de chien.

    Décidément, oui, elle devenait carrément mauvaise, mais ça, c'était le manque, et le mal de tronche qui commençait à remonter le long de sa nuque. Levant les yeux vers le ciel, elle les plissa face à la luminosité. Le soleil se couchait derrière les toits, et irradiait nettement moins la ruelle. Bon, il fallait qu'elle se remette d'aplomb, pour pouvoir partir en quête d'un endroit où crécher cette nuit.

    Elle fit basculer sa musette vers l'avant, et saisi de quoi s'injecter une dose de Psycho. La dernière qu'elle avait. Ouais. Il fallait qu'elle trouve une piaule ET quelqu'un à dépouiller. Elle tendit le cou, et gémit le plaisir lorsque le produit coula dans sa veine. Oh oui c'était bon. Presque aussi bon que de se faire prendre par un groupe de soldats de la FNF complètement en manque. Déjà elle se sentait plus forte, plus alerte. Assez du moins pour parcourir quelques kilomètres. Elle s'était trop éloignée de son point de chute habituel, et n'avait pas vraiment envie de se retrouver de nuit dans les rues éclatées.

    - Allez, on avance.

    Elise fit basculer le Churchill, offert par un client, ou volé sur le cadavre d'un client, les souvenirs étaient flous, habituellement sanglé à son épaule, sur sa taille, de façon à dézinguer du connard plus facilement. Le chien sur ses talons, elle traversa quelques ruelles, à la recherche d'un appartement qui n'avait pas l'air d'être à fouiller. Ce qui était un peu con, d'ailleurs, puisqu'elle cherchait de quoi se ravitailler. Enfin bref.

    Arrivée devant un immeuble à la façade à moitié défoncée, elle s'y engouffra. Elliot glapit une fois, comme une menace à moitié silencieuse pour quiconque oserait se dresser contre eux. Elle monta les escalier, jusqu'au 5 ème étage. Ni trop bas, ni trop haut. Elle ouvrit avec délicatesse une porte, qui ne grinça même pas.

    Et là, au milieu de la pièce, un homme étendu. Elle s'approche, ne distinguant pas de respiration, ne voyant pas l'infime soubresaut qui agitait son torse. Alors faisant fi du danger qui pouvait se profiler à l'horizon, elle fit glisser ses mains sur lui, pour entamer une fouille légère, mais determinée...
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MessageSujet: Re: Y'a pas de quoi se mettre en colère mon chou. [PV Meph/Elise]   Y'a pas de quoi se mettre en colère mon chou. [PV Meph/Elise] I_icon_minitimeJeu 29 Aoû 2013 - 0:15

Journée de merde.

Réveil à métrop' sur les coup de 15 heure je dirais, une belle matinée qui s'annonce.
Réveil classique, lendemain de soirée, gueule de bois, début de manque, le sang me bat les tempes, irriguant difficilement le cerveau.
Qu'est-ce qu'on a foutu hier? Rien d'extraordinaire, sinon je m'en souviendrais mieux. Y'avait bien cette serveuse mignonne, dans un bar... Sauf si c'était avant hier? Dans tous les cas, faut vraiment pas que je refoute les pieds dans ce bar, mais le truc, c'est que je sais plus lequel c'était... Bref!

- Debout les baltringues, c'est l'heure du petit-dèj.
J'annonce, mais pas de réponse. Gauche, droite, personne.
Putain, où est-ce que j'ai perdu ces cons. Rappelle plus, tant pis. Petit-dèj, je verrai après. Je finirai bien par les retrouver ces tas de merde ambulants, mes potos.

J'essaye de me repérer. Je suis où putain? un couloir un peu un peu à l'écart de la ville. Saleté de ville, cuvette débordante de merde, je t'aime. Un peu.
Ces couloirs ont tous la même gueule, mais je connais bien. Les champs élimés sont à quelques tunnels d'ici.
Je m'étire. Dormir à même le sol, recroquevillé contre le carrelage froid c'est jamais la joie.

J'ai mal partout. Mains dans les poches j'avance lentement: Quelques anneaux, quelques cartouches. De quoi tenir la journée.
Je fais le compte, j'ai dépensé un paquet de blé, et tiré quelques cartouches.
Je me gratte les couilles, endolories. Ouais, j'ai tiré quelques cartouches.


Sur les champs. Je balaie des yeux les couloirs, pas un dealer que je connaisse.
Le Trident tient l'endroit, et j'aime pas ces type. Il on fait de la cruauté, de la dope, du sexe et de la violence un commerce comme un autre. Bande d'enculés, moi c'est ma passion, vous me salissez. Mais je fais profile bas, surtout que je suis seul, et que j'ai besoin de ma came.

Je trouve rapidement un vendeur, ça manque pas. Un gosse, encore jeune avec la dégaine du mec qui se prend pour un mac parce qu'il a vendu sa première dose à sa petite sœur contre son cul.
Il comprends ce que je viens lui demander sans que j'ai à parler. Je sens le manque monter deux fois plus vite à l'idée d'avoir bientôt une dose.

- Jet, psycho, mentas ? Ce petit con arrogant est sûr de lui
J'hésite sur le choix. J'ai trop peu d'anneaux, c'est une dose de psycho, ou plusieurs de Crystal meth. J'hésite pas.
- crystal.
- J'ai, mais c'est hard ça tu sais?

Il m'a pas bien vu?! Je l'attrape par le col je le secoue, je l'envois contre le mur, pas trop méchamment non plus. Je lui tire mes derniers anneaux et lui jette au visage.
- Donne connard, où je te démonte!
Il ramasse les anneaux, essaye de les compter.
- y'a assez fais moi confiance. Donne! vite!
Il me lance un sachet. Quelques grammes, des cristaux comme du gros sel, pas la meilleure qualité mais de quoi tenir un peu, le temps de se refaire du fric, de retrouver les trous de balles qui me tiennent compagnie.

Je déguerpis rapidement des champs, mais l'attente est trop forte. Au premier tunnel calme je me cale dans un coin, sors ma pipe, m'envois une dose.
Bordel que c'est bon! Je me sens revivre. Je savoure la montée, rapide, brutal. Le petit-déjeuné des champions, ça nique même les Chocapic.

Pas cinq minutes après -enfin je crois, dur de savoir précisément - je suis coupé en pleine euphorie. Des mecs arrivent, mes sens en éveil le prédisent.
Du bout de mon tunnel je reconnais le jeune dealer que j'ai un peu violenté, accompagné par trois gars. Le Trident. Il était allé chouiner chez Papa "au secours un môsieur m'a tapé"...
C'est plus ce que c'était le trident... Je me lève quand même, prêt à détaler. Le gus me voit, me montre d'un doigt tendu:
- C'est lui!

Connard. Je croise du regard les gorilles du trident. On se reconnait, nos réputations respectives ont déjà du se rencontrer. Ils savent que je suis un client régulier, mais c'est pas la première fois que je me fais remarquer. D'habitude c'est pire et j'ai quelques dettes à éponger... leur Boss pourrait vouloir me parler...
Je détale à toute vitesse, boosté par la Méthamphétamine, sans demander mon reste, sans me retourner. Je les sème rapidement, je prends la première sortie, je débouche sur la rue, essoufflé - dix minutes de sprint - et d'autant plus sensible à l'effet de la drogue.

Je divague, je perds les pédales, c'est ce que je préfère...
Je passe la journée à errer, me défonce un peu plus dés que je sens les effets retombés, toutes les trois ou quatre heures, je suis réglé comme un nouveau né.
Je cours, je chante, je danse. Je ne croise personne, ou ne m'en rend pas compte, ou bien on m'évite quand on me voit, mais je vois pas pourquoi, je suis un mec sympa quand même...

Je sais plus ni où ni comment je me suis effondré, mais c'est arrivé. Un sommeil, mi profond mi léger, plein de rêves contrastés et de cauchemars saturés.
C'est une odeur qui me tire de ça. Je ne sais pas si je délire ou non, mais quelque'un me touche, et je suis caressé par une odeur de femme: une douce odeur de mouille et de foutre. Mais pas le mien. Pas encore, j'ai rien contre les mélanges.
Je sens distinctement chacun de ses doigts glissant sur moi, me palpant délicatement. Une fouille au corps? tu veux me voler? tu m'excites cochonne à me donner des raison de te punir!
J'ouvre un œil, le clair de Lune illumine faiblement la pièce, juste assez pour voir des formes et quelques nuances de gris se détacher.

Quand sa main s'approche de mon bas ventre, je l'attrape soudainement, brutalement, encore sous l'effet de la drogue -qui multiplie la résistance à la douleur, mais aussi la libido - et la dirige vers mon entre-jambe. De mon autre main, je lui colle mon canon scié. (Mon vrai fusil hein, ma bite aussi c'est un canon, oui, mais pas scié!)
Elle était déjà presque contre moi pour me fouiller, alors c'est sans mal que je la colle complètement contre moi, la serrant fort, commençant à lui lécher le cou.

- Bonne pioche cochonne, tu viens de toucher le Jackpot. Mon gros ZOB!!!
T'es prête prête pour une partie j'espère, je veux jouer moi aussi, j'ai plein de jetons à te mettre dans le flipper pétasse! Tu Tiltes?


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MessageSujet: Re: Y'a pas de quoi se mettre en colère mon chou. [PV Meph/Elise]   Y'a pas de quoi se mettre en colère mon chou. [PV Meph/Elise] I_icon_minitimeVen 30 Aoû 2013 - 18:25

    Alors que sa main s'approche de ses parties sensibles, parce qu'elle sait que les vagabonds planquent souvent leur came dans cet endroit là, histoire de pas se le faire tirer à la moindre occasion, elle sent que quelque chose ne va pas aller. Et en effet. Soudainement, une main forte attrape son poignet pour plaquer sa mimine à cet endroit là. Hum. Génial, un gros pervers en manque.

    De l'autre côté, elle sent le bout d'un canon scié s'enfoncer dans ses côtes. Ca va, c'est bon cow-boy, on va se détendre, ce n'était juste qu'une fouille légère, elle allait pas le tuer, et voilà qu'elle se retrouvait menacée par une arme à feu ET une tentative de sexe forcé. En tant normal, elle aurait pas dit non, mais là, elle savait pas où ça avait trainé avant.

    - Bonne pioche cochonne, tu viens de toucher le Jackpot. Mon gros ZOB!!! 
    T'es prête prête pour une partie j'espère, je veux jouer moi aussi, j'ai plein de jetons à te mettre dans le flipper pétasse! Tu Tiltes?


    La jeune femme éclata de rire. Un bon vieux rire cristallin, le pur rire. Celui qui se fout de ta gueule en fait. Il croyait vraiment qu'il était tombé sur la petite vierge effarouchée qui allait se laisser faire, et pleurer sa mère en se faisant prendre ? Eh ben il allait être sacrément déçu le cochon !

    - Ah ouais ?

    D'un coup de poignet elle écarta le canon scié, et saisit violemment les bijoux de famille du mec qui était allongée sous elle. Elle se méfiait de sa bouche, étant donné que langue parcourait son cou de manière assez brutale.

    - Alors, ça te plait, connard ?

    Cette fois, elle riait vraiment, un rire fou, un rire démoniaque, du plus profond de son ventre, tandis qu'elle serrait d'autant plus sa main sur les parties du mec sous elle. Son autre main monta vers ses cheveux, et en saisit une poignée, pour les tirer en arrière, ne sachant pas vraiment si elle cherchait à le repousser, ou à l'exciter d'autant plus.

    Un violent. Ca lui plaisait ça.

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MessageSujet: Re: Y'a pas de quoi se mettre en colère mon chou. [PV Meph/Elise]   Y'a pas de quoi se mettre en colère mon chou. [PV Meph/Elise] I_icon_minitimeMar 3 Sep 2013 - 0:54

La douleur électrique des testicules froissées monte en moi. Bordel la salope, c'est pas de la pâte à pizza, me malaxe pas les couilles comme ça!
La douleur est là, mais la drogue agit contre et j'ai le membre infaillible au labeur. Dés qu'il s'agit de labour, ma grosse moissonneuse-batteuse se met en rut et en route pour les prairies fleuries, prête cueillir de la marguerite. Je pourrais fertiliser des hectares entier sans m'arrêter, même avec ses ongles plantés dans mes bourses.

- Alors, ça te plait, connard ?

Elle saisit mes cheveux d'une poigne de fer, je libère ma main de son fusil et file sous son tee-shirt. J'envoie mes valets-cinq-doigts à l'assaut de sa vallée, en quête des saints monts-mamelons.
Bien sûr, j'ai reconnu sa voix, et son visage dans le clair de Lune n'a que peu de secrets pour moi. Je l'ai reconnu, je crois, je ne sais pas si c'est réciproque, mais le jeu est plus amusant comme ça. C'est peut-être simplement la drogue qui me fait rêver un visage familier.
La Bataille dure, de longues minutes d'une étreinte sauvage, réticente mais approuvée par les gémissements de chaque instant, des cris constants, coups de griffe, morsures, crachas...

Je me relève d'une position improbable sans même avoir besoin de me retirer, dans un mouvement de anche agile, entraîné. Debout, je la porte sur moi, presque sans les bras tant tout est bien ancré.
Trois pas à reculons, je me retourne, la bascule par la fenêtre. Elle est dans le vide jusqu'au genoux, sur le rebord de la fenêtre défoncée. Elle tire plus fort que jamais mes cheveux qui menacent de s'arracher, pour se retenir. Je la retiens par son tee-shirt que je n'ai pas enlevé, je vois la peur et l'excitation dans ses yeux, sa poitrine se soulever au rythme de sa respiration désordonnée, et en pleine Lumière lunaire, je n'ai plus aucun doute sur son identité, c'est bien Elise, cette grande folle  (enfin grande folle mais pas de la cage aux folles hein.)
Tout ce temps, je n'arrête pas de tambouriner sa porte cochère. Elle aime ça, je le vois, je la connais.

- J'ai pas l'intention... de te lâcher dans le vide ma belle... Mais si je jouis maintenant ... Je promets rien...


Elle m'a reconnu aussi, j'en suis presque sûr.
Elle se redresse contre moi à la force des ces abdo (pas mal dis donc...) et me fais tomber sur le dos. C'est elle qui conduit la moissonneuse maintenant.


hrp:
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Elise Follies
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MessageSujet: Re: Y'a pas de quoi se mettre en colère mon chou. [PV Meph/Elise]   Y'a pas de quoi se mettre en colère mon chou. [PV Meph/Elise] I_icon_minitimeSam 12 Oct 2013 - 18:10

    Dieu sait qu'elle ne le veut pas (encore que faudrait qu'il y en est un, mais c'est un autre débat.), et pourtant elle ne pouvait se retenir de gémir de façon lascive alors que sa mains venait à l'attaque de sa poitrine. La lutte s'engageait, et il avait beau être brutal et violent, il n'en était pas moins doué. Elle le laisse faire, explorer tout ce qu'il veut explorer, tantôt se mordant les lèvres, tantôt mordant les siennes avec violence, goûtant parfois le sang qui perlait. Pour l'instant, elle ne sait pas de qui il s'agit, tout ce qu'elle sait, c'est qu'elle prend son pied, et que si là, l'envie lui prenait de lui faire encore un peu plus mal, elle l'accepterait volontiers.

    Elle enfonce ses ongles dans son dos, laissant disparaître le tranchant dans la chair plus ou moins fraiche, et se sent transportée, alors qu'elle mord son oreille presqu'à en arracher le lobe. Soudain, elle se sent basculée et se retrouve dans le vide, la main accrochée à la tignasse du gars qui la visite, encore et encore, tandis qu'elle n'est retenue que par le tissu déjà fatigué qui couvre ses seins.

    C'est meilleur que le psycho, c'est meilleur que tout ce qu'elle a goûté jusque là. Même les morts. Même les tournantes dans les ruelles aux abords des camps de la FNF, n'ont pas ce goût là. Elle est partagée entre l'excitation, le plaisir, et la peur. Elle sait que s'il la lâche, la chute sera mortelle. Elle sait que s'il ne la lâche pas, elle se vengera, et leur petite sauterie prendra un tournant encore plus violent. Elle n'entend pas ses mots, ce n'est que du bruit qui parvient à ses oreilles. Elle relève légèrement la tête et la Lune éclaire le visage de celui qui s'acharne à la démonter. Et elle le connaît. Oh oui, elle le connaît bien.

    Elle rassemble toute sa force pour se redresser, et en prenant appui sur ses épaules, elle le bascule. Désormais à cheval sur lui, c'est elle qui mène la danse. Et ce qui était jusque là de la baise pure et dure... Continue à l'être. Sa cavalcade se poursuit, son bassin imprimant un rythme effréné, tandis que ses reins se creusent au rythme de sa respiration et de ses gémissements.

    Soudain, sa main vient se plaquer sur la gorge de l'homme, et son poing droit s'écrase violemment sur sa mâchoire. Encore, et encore une fois. Et à chaque coup de poing, un coup de rein plus puissant, plus violent, et un gémissement plus fort encore. Son poing se desserre, et tandis qu'elle serre un peu plus la main sur sa gorge, elle laboure son torse de ses ongles. Puis elle se penche sur lui, vers son oreille, qu'elle mord au sang, et elle murmure :

    - Ca te plait toujours autant la violence Meph ? T'as pas changé vieux porc...

    Leur danse, mélange de violence, de passion, et de douleur se poursuit encore de long moment, durant lesquels elle lui présente plusieurs... Facettes de sa personnalité. Et enfin, lorsque tout est fini, elle se replace à cheval sur son bassin, tremblante et essoufflée, elle plane de plaisir, mais amorce la descente sur son shoot, et les deux semblent ne pas faire bon ménage. Ses yeux se ferment, lourds, beaucoup trop lourds, et elle finit par s'effondrer sur le torse de Meph, à la limite de l'inconscience.
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