Nom: Outang
Prénom : Lorant
Race : humain moyen.
Date de naissance : vers 2153, environ 24 ans.
Description physique :C'est un mec, donc c'est pas une fille, mais c'était une chance sur deux donc bon, c'est pas très distinctif.
Il a une taille moyenne, genre pas petit pas grand.
Il aurait pu être blond ou brun, mais il est châtain de cheveux, pas frisés, mais pas complètement lisses non plus. Par contre il est pas roux, parce que c'est pas un vrai orang-outan hein.
Il a les yeux marrons, parce que c'est une couleur assez correcte pour des yeux.
Il est pas moche mais pas non plus hyper beau, juste assez pour serrer ta mère ou ta sœur, mais ça c'est pas dur de toute façon.
Il a de la peau sur toute la surface du corps. Quelques poils sur la peau, par endroit.
Il a une voix quand il parle, mais des oreilles tout le temps, même quand il écoute pas.
Il a dix doigts, bien répartis selon les lois de la symétrie sur deux mains, une gauche et une droite.
Il a des dents, surtout dans la bouche.
Profil Psychologique :Il a chaud l'été et froid l'hivers, donc en moyenne, ça va.
Ni à se vanter ni à se plaindre, Lorant Outang est un gars moyen, sans histoire, sans beaucoup d'avenir. Il le sait, il a assimilé le fait de n'être rien d'autre qu'un homme de plus. ça ne l'empêche pas de rire, de rêver et d'espérer un peu, puisque c'est ce que tout le monde fait.
SPECIAL :Compétence | Strength | Perception | Endurance | Charisma | Intelligence | Agility | Luck |
Valeur | 5 | 5 | 5 | 5 | 5 | 5 | 9 |
Il manque des points, je sais, pas grave.
Biographie :Pour le cadre, c'est pas compliqué. Lorant Outang n'est pas tombé du plafond de la chapelle Sixtine. Pas d'un arbre non plus, ou pas directement non, Lorant n'a pas eu besoin de tomber, il est né déjà au fond d'un trou. Mais il était pas seul, et pas plus de raisons de verser une larme pour lui que pour les autres.
Lorant est très banal, fondamentalement. C'est un enfant, puis un ado et un adulte. Pas de doute qu'il deviendra un vieux. S'il survit. Aucune extravagance, si ce n'est la survie, qui est chaque jour, pour chacun, déjà un exploit ici bas.
A ses premiers souvenirs, aussi loin qu'il peut remonter, il était déjà orphelin. Pas de souvenir d'une mère tendre ou méchante, d'un père jovial ou alcoolique. Pas beaucoup de tristesse donc, mais plutôt des questions et un paquet de frustrations.
Mais plus tard, les questions viennent en grandissant.
Jeune enfant, il vit de la charité. Un peu de mendicité, un peu d'aide de bonnes âmes qui veulent aider. Pas l'aider lui spécifiquement, mais aider cette masse d'enfants sauvages qui vivent à la rue, ou plutôt au tunnel. La journée il s'ennuie, la nuit se réfugie dans un orphelinat de fortune. Il n'est pas adopté par un vieux sage, pas plus par un vieux fou, pas même par un simple couple un peu gentil non, on ne l'aidera pas à se forger une identité, il n'a que lui même au milieu des autres.
Il n'est personne en particulier, juste un de plus. Au fond il le sait bien, mais cela n’empêche pas de rêver de temps en temps.
Lorant Outang, c'est le nom qu'il a gardé. Il ne sait pas trop pourquoi on s'est mit à l’appeler comme ça.
"Alors, qu'est-ce qu'il veut Lorant Outang aujourd'hui?"Mais c'est un nom, et c'est toujours ça de pris quand on a rien. A l'époque il ne connaissait pas grand chose, et ne l'apprit que plus tard, par hasard: L'orang-outan est ou était -qui peut savoir - un grand singe, réputé assez intelligent, mais surtout et quand même, un singe.
Peut-être qu'on se moquait de lui, ou peut-être que ce surnom était affectif. Il s'en fout pas mal, il ne va pas les retrouver pour leur demander et c'est plus trop le moment de changer de nom.
Lorant Outang donc. C'est bien quand il y pense aujourd'hui. Ça sonne bien. Une créature disparue, vivant très loin dans un monde que peu de personnes ont connu et que plus personne ne connaîtra.
Avant de savoir vraiment, il s'imaginait ses histoires.
Lorant, ça sonne bien Français et d'un coup il hérite d'un lignée de fiers combattants tombés au front pour leur patrie, d'un père mort pour sauver l'honneur de sa famille. Ou des trucs comme ça.
Outang, ça sonne un peu rien par contre. Il trouverait bien un jour d'où ça vient, c'était sa grande question.
Avec l'adolescence arrivent les questions cruelles. Heureusement, il n'y a pas grand monde pour les lui poser. Les autres sont comme lui, à peu près la même situation, sans passé et sans trop d'avenir, mais décider à profiter un minimum du présent, ce qui rend les chose un peu plus faciles.
On fume des clopes piquées au daron d'un gars qui en a un, on économise quelques anneaux gagnés pour de la bière tiède et sans gaz qu'on se défie de boire cul sec. On pécho sa première gonzesse, on hésite à mettre la langue, et on hésite vite plus à vouloir lui mettre autre chose. C'est la sœur d'un pote donc il s’énerve, ça se bat un peu mais ça se réconcilie vite par ce que sinon, tout seul, on se ferait vraiment encore plus chier.
L'age adulte approchant, Lorant décide de se trouver un vrai travail. Il envisage une carrière. Toutes, n'importe laquelle.
Récupérateur, il trouvera un trésor de l'ancien monde, enfuit sous les décombres et deviendra riche, très riche. Mais rapidement il s’ennuierait. Les trésors n'arrivent pas vite et il n'a pas la patience de passer ces heures à retourner des ruines pour trouver un grille pain cassé depuis un siècle.
Joueur de Trashball pourquoi pas. Devenir célèbre, ça lui plait bien. On lui tiendrai toujours la porte, tout le monde connaîtrait
son nom. Il pourrait enfin vraiment se faire la sœur son pote, et tellement d'autres qui ne résisteraient pas à son charme de sportif. Et Lorant Outang, ça sonne bien pour un joueur de Trash Ball... Mais il n'a pas trop la carrure pour. Il perdait toujours rien qu'au foot et n'aime pas trop se prendre des coups.
Escorteur alors! Parcourir le monde, vivre des aventures. Il trouverait forcément qui il est un jour, au détours d'un chemin, après une embuscade meurtrière dont il sortirait en héros ou dans les bras d'une belle femme sauvée d'un groupe de psychotiques.
Et puis du coup, il porterait toujours une arme. Il aime bien les armes, il se sent un peu plus fort avec.
Mais les routes ne sont pas faites pour lui. Toutes ces kilomètres à marcher sans rien croiser... Non ce n'est pas possible.
Sa vraie vocation est là, devant lui, à coté, autours de lui depuis toujours. C'est Métropolitopia.
La milice de la ville, voila qui était fait pour lui. Un peu d'aventure, pas trop non plus, il rencontrerait des gens, et peut-être une petite gloire locale et un jour un poste un peu plus haut gradée.
Et puis, il porterait quand même une arme!
Il s'engage, et trouve enfin quelque chose qui lui plait. Ses journées ne sont pas folles et l'ennuie est toujours là par moment, mais il commence à se constituer lui même, pour lui même. Il est un milicien comme il y en a d'autre, mais au moins, c'est une chose qu'il a choisi, et qu'il sait pourquoi il l'a choisit.
Ce n'est plus le fait d'un hasard prédéterminé, d'un lancé de dés. Il existe un peu, au moins en lui même.
Statut/Rang/Grade/Classe : Milicien à Métrop.
Faction : Survivants des TD.
HRPC'est venu comme ça, c'est peut-être un peu particulier, mais j'avais pas envie de trop définir le personnage pour le moment, on verra le reste en RP petit à petit. Je pense juste lui faire rejoindre une quelqconque resistance anti-FNF
pour l'avatar je vais voir, et je corrigerai au moins la taille.
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