Age IRL : 25 Ville IRL : Orléans Inscription : 27/12/2012 Messages : 94 Jean Linitier | Sujet: Le transilien, en route pour le RER D. Sam 9 Nov 2013 - 23:24 | |
| Enfin arrivé à la gare. Le trajet n'a pas été trop perturbé et les rares créatures sur le passage on été évité. "Bon, les gars, direction la ligne D. Seulement, on ne peut y accéder que par la ligne 14. Du coup, on prend la ligne 14 est dès que possible on bifurque. C'est une zone connu, rien de très compliqué. il suffit juste de faire un aller-retour dans ce trou. Une fois rentré, activez vos vision nocturne pour y voir quelque chose. Ne tirez que pour riposter. Nous sommes en reco, pas en mission d'infiltration. Sauf si je le décide. Signalez tout mouvement suspect, tout bruit....enfin tout c'qui n'est pas net. Reçu ?"Oui caporal."Les trois hommes traversèrent le marché puis se faufilèrent dans la ligne 14. Là, il étaient à bonne distance du marché. "Bon, on avance sur 100 voir 200 mètres puis on passe sur la voie de gauche. Le seul truc c'est qu'elle est en surface. C'est pour ça qu'on passe par ici aussi. Je le répète, la zone est déjà connu, donc il n'y aura rien qui ne sortira de l'ordinaire d'une ligne en ruine.Pendant cinquante voir soixante mètre, il n'y eu rien à signaler mais d'un coup, un bruit sourd retentît. Avec la résonnance, personne ne sût d'où cela provenait : ils n'étaient pas seul. Il y avait forcément une autre chose vivant à l'intérieur du métro pour avoir provoqué un bruit comme celui-là. Les gars n'étaient pas rassuré, le marché était déjà loin, du moins trop pour reculer. Et surtout, Linitié n'allait pas reculer pour un bruit. -Les gars, vous restez-là. Si vous entendez tirer vous venez. Si je ne reviens pas d'ici dix minutes, vous retournez à la base et si je reviens, je reviens. Aller....Le caporal s'engagea entre la rame hors-service et la paroi à moitié effondré. Dès qu'il ne lui fût plus possible d'avancer, il changea de côté. Là il vît une lumière vacillante. Le caporal hésita à s'aventurer plus loin tout seul, mais après mure réflexions, il avança sûr de ses mouvements. Seulement, il se mît à penser à une chose : pourquoi lui avoir octroyé une mission aussi banale s'il était un nouveau héros, petit certes, mais quand même. Peut-être était-ce une mission plus difficile que prévu, avec une bande de psychos à la clef, ou des mutants pas très sympas..... Après une minute de réflexion, il continua sa route vers la lumière. C'était un feu. Qui disait feu, disait Hommes. Il retourna en arrière car personne n'était visible aux alentours. Il fît signe à ses hommes, disant de venir et de le suivre. Ils reprirent ensemble le chemin qu'avez déjà fait Jean puis se retrouvèrent autour du feu, un simple tas de bois pausés sur quelques morceaux de pierre. Quelques pas plus loin, Jean trouva un papier où un texte était écrit : J'ai reçu les ordres et je dois dire qu'ils me plaisent. C'est un gros coup difficile mais ça sèmera la discorde.On peut dire que c'lui-la tu l'as bien trouvé, rien à dire. Maintenant, vas chercher le matos avec ce code : 15/46/02. Tu pourra ouvrir le coffre avec. Le trouver va surement te prendre vingt minutes mais ça va le faire. Rejoins moi au marché dans deux jours. Surtout, n'oublie-pas de bruler la lettre.
F. -Rien à signaler chef.C'la tombe bien. Regardez ce que je viens de trouver, un petit mot. Une sorte de casse se prépare en douce. C'est surement pas ce qui intéressera la FNF mais je connais quelqu'un que le mot discorde ne laissera pas forcément glandouiller. Bon, on fini vite cette mission et....en fait, non, on s'en fou. On rentre, vous direz qu'il n'y avez rien sauf quelques bestioles qu'on a eu au couteau pour éviter le gaspillage.Au moment de repartir, cinq hommes arrivaient par l'endroit d'où le groupe devait partir. C'était des bandits ou des mercenaires. Jean voulu leur parler en se montrant mais la réponse fût une rapide attaque. -Soldats, passez de l'autre côté pour pouvoir les avoir. Je reste ici pour vous couvrir Quand vous êtes prêts vous me le dites.-Prêt caporal !-Allez !!Linitié sorti son PL-A1 et couvrît ses hommes qui passaient de l'autre côté de la voie. Ils montèrent dans le wagon et, au moment d'arriver au niveau des hommes, ils lancèrent leurs grenades. Seul l'un d'entre eux survécu aux grenades. Jean se précipita vers lui. -C'est quoi cette lettre mon gars !!? Répond !!-La clef du dé....désaccord entre....vous et.....Mmm......Il n'eu le temps de finir sa phrase. Il mourût à cause des divers éclats qu'il avait reçu. Le caporal se releva et revînt au marché avec ses hommes. De là, il rentrèrent à la base, avec cette mystérieuse lettre pour la montrer au commandant Dole. Le retour fût aussi calme que l'allé, quelques bestioles évités, des marchands.....récupérateurs.... |
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