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 Les débuts de la Résistance [Souvenir,RP Solo]

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Stanislas
Stanislas "Le Révolté"
MessageSujet: Les débuts de la Résistance [Souvenir,RP Solo]   Les débuts de la Résistance [Souvenir,RP Solo] I_icon_minitimeDim 18 Aoû 2013 - 17:01

Stanislas se rappela l'époque où la Résistance, qui ne portait pas encore ce nom, ne faisait encore que manifester pacifiquement...les répressions étaient généralement terribles...Il plongea dans ses souvenirs profitant de se long moment de réflexion...

Une rumeur, un souffle, qui passe, attendu. Traverse mur et pièce, balcon et rue. Un rythme sourd et puissant qui charrie des blocs de roc, des roches volcaniques, une colère déjà immense, une rage frémissante. Quelques silhouettes sortent, descendent sur le goudron ou les pavés, bientôt rejoins par d'autres puis d'autres encore. Enfants, femmes, hommes, vieillards qui se regroupent en un flot grossit par d'innombrables arrivées. Ce mouvement est né du désir de liberté et s'est vu accueillir par les balles. Ce mouvement fut arrosé par le plus dangereux engrais, le sang. Et dès lors, il se reforme sans répit contre l'oppression, contre les crocs d'une bête mordant dans sa propre chair.

Les pieds qui claquent sur le sol, les gorges qui réclament justice, dénombrent les crimes les morts. La question n'est plus de savoir si complot il y a, elle ne se pose pas, ils ont ouvert le feu sur eux. Déjà vue dans d'autres lieux, cette volonté à mis à terre les tyrans, ce n'est qu'une question de temps. Une seule énergie regroupe la foule, qui coule dans les rues comme un fleuve en crue. Avec pour seuls l'arme des poings dressés et des mains ouvertes, ainsi que l'innocence face à ces monstres. Ceux dont les doigts crispés tracent d'affreuses tortures sur leurs victimes, noyant ensuite ces enfants ou autres manifestants sous les blessures.

Tentant de se faire entendre, les détonations avertissent, ou rappellent, les sentences infligées. Mais le sang de leur dernières sortie n'a pas fini de sécher qu'ils sont déjà de retour, princes d'une évolution, princesse d'une détermination, le soleil qui les observe en coin ne peut que les admirer. Leurs pas résonnent, leurs poings se ferment, face à eux s'ouvre la place, lieu d'exécution pour les plus braves. Les sacs de sable semblent bien frêles face à la chaleur qui émane de ces centaines de corps marchant pour établir ce qui aurait dû l'être depuis le début. Cependant à la fin de l'allée, la foule s'arrête, stoppant tout bruit, malgré eux les scènes de massacres, de meurtres, d'assassinats frôlent leurs pensées. Les canons en face se lèvent, certains chantent encore ne craignant pas la mort...

Stanislas se faufile entre ses congénère, le coeur brûlant. Il sent la puissance qui émane de la marche, ces cris de rages qui montent jusqu'au ciel. Ces pleurs, ces vagues qui rebondissent contre les murs pour venir se répercuter sur les chanteurs, qui chantent alors plus fort, et s'opposent au son des mitraillettes. Il sent cette colère qui s'évapore des âmes chauffées à blanc par le comportement immonde de ceux censés les diriger.
Puis la foule s'arrête et s'ensuit un silence de plomb, plus lourd encore que ces projectiles. Il se rapproche de la place et se poste derrière un grand homme barbu, à deux mètres de l'entrée de la place, des soldats pointent leurs canons vers les civils. Les deux camps se toisent, se défient, les minutes passent, les ongles mordent la chair, la sueur perle à fleur de peau.

Soudainement, une arme lourde crache une salve de projectiles qui laboure le sol dans un nuage de pierre brisées. La foule se rétracte, se durcie, les détonations enragent, augmentent, se rapprochent.
Certains des tireurs prient pour qu'ils partent, pour qu'ils se rendent à l'évidence. Stanislas assisite à la scène. Il vibre, cette rage incroyable, cette haine sans mesure envers les responsables le désintègre.Un tir provenant d'un blindé soulève une fleur de débris à seulement quelques mètres. Les premières victimes tombèrent sous le terrible courroux de la FNF.

Stanislas se dresse parmis la foule et ordonne le repli...ils n'avaient pas échoués...une fois encore, ils avaient démontrés au peuple qu'ils fallaient se battre contre les oppresseurs...

La FNF avait faiblit en osant tirer sur les manifestants, ils n'avaient pas pu contenir la rage brûlante de la foule d'une manière non-létale. Des hommes et femmes avaient trépassés. Leur sacrifice ne sera pas vain...chaque révolutionnaires tombés aujourd'hui rejoindra la nuit noir où se dressent les étoiles rouges des autres camarades. Leur éclat d'espoir illuminant les vivants de façon éternelles pour ainsi prouver qu'ils restent et resteront à jamais des partisans de la liberté, architectes de l'égalité et prêcheurs d'un nouveau régime.

Voilà comment naquit la Résistance...dans le feu, le sang et l'oppression...la lutte finale ne fait que commencer

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