Journal du soldat "initié" Jean


Premier jour:

Je suis rentré dans le centre de recrutement ce matin pour devenir soldat et pour servir ce pays ravagé par des hordes de gens primitifs, retournés à l'âge de pierre.
En entrant, on me demanda mes papiers que j'ai fournis aussitôt. Ensuite, un des soldats me conduisit vers une salle où plusieurs dizaines de personnes attendaient.
Je fus agréablement surpris de savoir que tant de gens voulaient servir leur pays mais qu'il n'y aura pas toutes ces personnes dans les rang de la FNF. Dans la "salle
d'attente", une diversité affolante des candidats me laissais béant : même des goules étaient présentes, ce qui, pour moi, est une bonne chose pour la réunification
du pays. Aucune personne ne parlait, seul l'homme qui appelait les candidats parlait.

-J'en ai quand-même marre de tout ces pécore qui ne seront pas tous sélectionnés, mais bon, faut tenter sa chance...

A ce moment, un sergent entre dans la pièce, regardant tout les potentiels soldats :

Encore une fournée qui va passer à la trappe...pff...

Cette homme, normalement sensé servir son pays et ces citoyens, insulta d'honnêtes gens, ce qui me mis hors de moi. Mon tour arriva, j'entre dans une petite salle,
où se trouve deux chaises et une table, avec un hommes, probablement caporal, assis sur l'une d'elles.

Assoyez-vous et restez calme. Ceci est un test pour savoir si vous êtes apte à faire parti de notre glorieuse armée.

Il me donna un petits paquet de feuille d'une quinzaine de pages. Je me disais qu'il n'en fallait pas tant pour rentrer dans cette "famille", mais en feuilletant ce document
qu'il sagisait plutôt d'un test de fiabilité que d'aptitude. Certaine question comme :"Où et quand êtes-vous né?" sont basiques mais celles comme :"Avez-vous de
quelconques contactes avec des individus ayant fait du tort à autrui?" ne sont pas banale même dans notre air. Je fus accepté, puis on me donna mon paquetage, mon
arme et tout les éléments constituant mon équipement. Pour le moment, je suis en formation, ce qui me semble normal pour une recrue, mais j'espère que, bientôt,
je serais un haut-gradé respecté de notre armée.



(couleur olive : personnage lambda bleu foncé : mes pensés bleu : mon dialogue
passages en gras : passages importants )

Deuxième jour:


Pendant ma formation, diverses choses se sont passé. Pendant ce mois, nous allions apprendre des méthodes de survie, le maniement des armes d'infanterie,
les techniques de combat, et à gérer notre équipement (mettre son armure rapidement, nettoyer les composant du paquetage, comment le porter pour qu'il
paraisse moins lourd...).
Dans cette caserne d'avant-guerre, les bâtiments, normalement fissurés ou effondré, on étés réhabilités, retapés, et sont maintenant beaucoup plus confortable.
La radio est diffusée dans chaque baraquement. Dans une baraquement, il y a 30 initiés, qui lui est composé de 3 baraques de chacune 10 initiés. En tout il y
a peut-être 5 baraquement. Plus n'est pas nécessaire car il n'y a pas assez d'initiés. Je me trouve dans le premier, là où "les futurs meilleurs éléments" de
notre armée se situent. Il n'y avait aucune goule car elles étaient dans le cinquième baraquement : je vous laisse deviner pourquoi. La plupart des personnes
dans mon baraquement était des hommes. Mais dans la troisième baraque, i y avait 4 femmes. J'était jaloux d'être dans le deuxième. Mais quand j'ai vu les
monstres, je me suis dits que c'était peut-être mieux. Je me situais en bas d'un lit superposé. Mon camarade au dessus était un dénommé François, mais il ne
parlait pas beaucoup : en effet, il avait surement reçue un tir laser dans la mâchoire. Je me demandais comment il pourrais donner ses ordres, quand il sera
officier. Enfin bref.
Le sergent en charge de notre baraquement nous a regroupé l'après-midi pour nous briffer : il nous a dit que seul 15 d'entre nous partiraient
sur le front en devenant soldat. Seul 15 soldats, je pensait qu'ils ne trieraient plus. Jusqu'a 22 heure, nous avons appris les bases de l'armée comme le garde
à vous ou la marche (120 pas/min) ou encore comment porter son arme. Jusqu'à 23 heure nous avions quartiers libres, mais en me rappelant de la phrase du
sergent, je me suis dit qu'il fallait plutôt bosser que s'amuser. La phrase exacte était :

Bande de petits trou duc', vous allez me remonter ce que vous avez dans vos froques car seule 15 d'entre vous aurons l'honneur de faire parti de notre armée!

Je lisais tout ce qu'il fallait savoir sur notre armée question technique et sur le front : je connaissais à apprendre certaine formations et autres tactiques de replie
en cas de besoin. Pendant ce mois j'allais apprendre la moindre technique de combat qu'elle soit offensive où défensive. Mon seul point faible serais les armes
car je ne me suis jamais vraiment battu avec une arme à feux, ce qui est rare dans les terres désolé, mais j'apprendrais ça avec le sergent.

Première semaine:


Je me suis bien débrouillé pour un début mais il ne faut pas baisser les bras! Mon troisième jour se passa sans trop de problèmes : il n'y avait pas encore de
manipulation d'armes alors je me suis bien débrouillé. J'ai réparé quelques dizaines de fusilles le matin pour me mettre d'aplomb puis l'après-midi nous avons
était entrainé à se mettre en formation ce qui m'a permis d'étaler ma science sur ce sujet, pourtant infime. Enfin, comme chaque soir, je révisais le technique
militaire pour pouvoir faire un bon chef le moment venu.
Puis, pendant les 4 et 5 jour nous avons révisé le peu que nous avions appris en approfondissant les sujets les plus importants, ce qui était plus précis que mes
bouquins. Mais le cinquième jour, nous avons fait un test pour voir notre niveau en ce qui concerne l'armement, pour connaitre no spécialisations. Bien entendu,
j'ai plongé et est lamentablement échoué :

Espèce de nul tu sert à rien si tu ne sais pas tirer! Faudrait penser à plus avoir de couche et à travailler ses muscles pour pouvoir porter ces armes!
Tu seras la honte de ta futur unité et tout les gars rigoleront!

Ces mots aurais put me déstabiliser ou me faire tuer ce sergent mais il mon conduit à la raison et donc j'ai dut laisser de coté les livres pendant quelques temps. La
seul chose qui m'a embarrassé, c'est qu'il ne métrisait pas bien le français pour les négations. Donc toute la journée, et même la nuit, je me suis entrainé à tirer
avec le FALMAS et notre arme de poing que j'appelle "FF" pour Force Française. Le sixième jour, j'étais crevé mais bizarrement, je me sentais bien. Peut-être ai-ce
le bon petit dèj' de ce matin ou alors l'entrainement d'hier-soir. Enfin toujours est-il que nous avons continué à nous entrainer aux armes mais là de corps à corps.
J'ai halluciné quand je me suis rendu compte que je métrisais parfaitement bien l'affrontement de près.

Sergent, venez que je vous botte l'arrière train !

Sans hésiter, je défiais le sergent qui avait pourtant plus d'expérience que moi en combat rapproché, mai je me santé confiant, pour une fois dans ma vie.

Tu fait ptètre le malin au corps à corps mais, aux armes à feux, t'es pas une flèche!

D'un coup, le sergent bondit sur moi, me décrochant un coup droit bien puissant, que j'arrive à parer difficilement, puis j'enchaine avec un coup de genoux bien placé
dans l'abdomen, ce qui le met à terres. Mais en se relevant, il me tire les jambes ce qui me fait basculer en arrière. Au moment ou je le tenais, et lui me poussait,
un capitaine, surement le commandant du camps, arrive, avec ses quelques soldats lui servant d'escorte. D'un regard, il fait lever le sergent, que se précipite pour
se mettre au garde à vous. Moi, je reste assis, essoufflé par ce rude combat qui m'opposais à un vétéran. Le capitaine, me regardant, se met à rire, puis regarde
le sergent:

Je vous croyait maître en ce lieu, mais cette individu est un adversaire de taille....HA HA HA!

Il recommence de plus belle en me tendant le bras. Je l'attrape et me mets au garde à vous. Ma conclusion était que ce capitaine avais déjà été dans la même posture
que moi. Tout en criant aux autres de reprendre l'entrainement, le sergent me lança un regard mais de sympathie.
Le septième jour est réservé à le détente, mais j'ai continué à lire le matin et à m'entrainer au tir l'après-midi

Deuxième semaine:


Cette semaine fut la plus calme de ce mois de formation : aucune bagarre, pas de violence, aucune chose se mettant en travers de notre formation. Cette semaine nous a permis d'apprendre à nous connaître en se parlant pendant les entraînements avec le sergent qui, comme à son habitude criait, et on l’entendait comme s'il avait un haut-parleur. Mais cette fois-ci, c'était pour nous féliciter de nos progrès. Il recommença son discours en ajoutant que les trois meilleurs soldats auront l'honneur de passer directement caporal, sans avoir besoin de passer de concours ! D'un coup, mon sang ne fit qu'un tour, j’avais trouvé mon billet de sortie : devenir le meilleur parmi les meilleurs ! Les trois "gros joueurs" pouvant venir contrecarrer mes plans étaient :

-Sarah l'enclume, qui a eu se surnom après en avoir porté une, plein de muscles mais pas de cervelle.
-George, qui lui n'a pas de surnom car personne ne le connaissait, mais il est sympa lui aussi, il me ressemble un peu mais n'est pas aussi musclé ni intelligent.
-Chris le renard, qui, à ce qu'on raconte, une mémoire devant normalement tenir dans un cerveau de la taille d'un mini-nuke, et aussi dangereux.

Sinon, pas grand chose, sauf la sympathie du capitaine à mon égard.

Troisième semaine:


La formation c'est fini plus tôt que prévu dans notre baraquement grâce au sergent qui a assuré mais aussi aux initiés qui savaient bien faire. Les rappels n'ont pas servi car nous savions encore tout de A à Z. Pour moi, le seul souci et d'avoir fini quatrième ce qui aurais normalement voulu dire que je ne serais qu'un simple soldat, tout ça à cause du tir...

Sa me désole...j'aurais tellement voulu...

Voila ce que je pensais avant de savoir que le capitaine, exceptionnellement, a accepté de me nommé caporal comme les trois premiers. En fin de compte, j'ai bien fait de me battre avec le sergent à ce moment.

Vous êtes un bon soldat, peut-être même le meilleur que je n'ai jamais vu, me chuchota-t-il. Je suis heureux de vous décerner vos premiers gallons, en pensant que vous les utiliserez le mieux possible.

Comme la coutume le veut, mais surtout le règlement, je me mis au garde-à-vous, toujours comme les trois autres, mais moi à coté de la petite estrade prévue pour trois.

Voila comment c'est terminé ma formation, mon apprentissage, mes premiers pas. Avancer, monter en grade, tout ceci serais difficile à présent, car je viens des terres désolées, mais j'en suis fière, donc je me battrai pour mon pays!

Vive la France !