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Inscription : 31/07/2012 Messages : 200 Maître du Destin | Sujet: Des Paris à Paris. Jeu 25 Oct 2012 - 8:33 | |
| Tout commence à Auteuil, la petite bourgade mal-famée qui se dresse à l'entrée du Parc de Princes, en attente de la prochaine rencontre de Trashball. Auteuil a toujours été un gourbi rassemblant crapules, recylcleurs, réparateurs, et recéleurs, qui ont tous pour point commun d'être des parieurs invétérés. Les marchands itinérants viennent refaire leurs stocks au cours de paris bien senti, ou, pour les moins chanceux, perdre toutes leurs marchandises au cours d'une mise délicate. Les ruelles sont toujours pleines d'animation, emplies du bourdonnement sourd d'un bavardage incessant qui ne s'interrompt que lors des matchs, lorsque tout le monde se rue dans les gradins. Où que vous portiez le regard, vous trouverez des Bookmakers pétés aux as accompagnés de lourdes milices de protection, accostant le chaland pour prendre des Paris ; des bars dont les comptoirs usés et sales ne désemplissent pas ; des fast-food post-apocalyptiques d'où s'élève en fumée blanche l'odeur des brochettes grillées qui emplie les rues et fait saliver les mendiants qui ont déjà tout perdu aux jeux et qui quémandent quelques biens de valeurs aux passants "pour rejouer et se refaire".
Il n'y a rien au programme en ce moment. Pas de match de prévu avant deux jours. Autant en profiter pour manger un bout et se mêler à la population locale, non ?
Le Bar à Pari est le plus grand bar-restaurant d'Auteuil, et ne désemplit jamais, sauf pendant les matchs. Il est tenu par le robot Robbie, qui - dit-on - sert la meilleure bière du bled. Puis c'est aussi un endroit où l'alcool facilite les rencontres, et même parfois des rencontres assez inattendues.- Spoiler:
A vous. Vraiment désolé pour hier. Vous vous connaissiez déjà IRP, ou on fait une petite introduction bien sentie (sous-entendue : longue) pour présenter vos persos, le contexte, la légende, le défi, etc ?
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| | | Inscription : 17/08/2012 Messages : 267 Fonction : Modérateur Alexandre Fontaine | Sujet: Re: Des Paris à Paris. Jeu 25 Oct 2012 - 10:28 | |
| « Tu le retrouves, tu reprends mon argent et tu reviens ici, j’ai été assez clair ? », tel était les ordres qu’Ab’ avait filé à Alexandre avant que celui-ci ne parte. Il était assez rare qu’Ab donne des missions directement aux membres de la Guilde mais il devait tout de même faire confiance à l’homme, se qui était un bon point si un jour il voulait devenir un Chasseur de Prime de 1ère classe. Alexandre eu juste le temps de reprendre ses affaires, récupérer son manteau et il était déjà partit. L’homme qu’il devait retrouver se nommait Robert Tiennot, un ancien chasseur de Prime de Troisième classe qui avait « emprunté » de l’argent à Ab’ avant de se barrer sans scrupule et ne jamais revenir à la Guilde. Encore un pauvre paumé qui ne savait pas se qui l’attendait… On avait entendu dire d’ailleurs que l’homme trainait du côté du Parc des Princes. Le chasseur de Prime chercha plusieurs heures dans le village d’Auteuil, questionnant la plupart des habitants du coin et alors qu’il allait surement changer de zone, il fut témoin d’une scène assez étrange : Robert était en train de se faire racketter par deux hommes dont une goule. Alexandre sortit son fusil du Survivant, vérifia que son chargeur était encore rempli et il se dirigea vers les trois hommes en fronçant les sourcils. Alors qu’il arrivait à quelques mètres du groupe, il pointa son fusil dans leur direction et il annonça d’une voix calme modifié par le bruit de son respirateur :
- Eh vous ! Lâchez se pauvre type si vous ne voulez pas vous retrouver avec un deuxième trou du cul !
La Goule regarda Alexandre et dans un accès de folie, elle se jeta sur lui. Alexandre lui donna un sacré coup de crosse dans le visage se qui eut pour effet de la mettre par terre directement, faut pas déconner avec Alexandre. Il regarda le deuxième homme d’un air menaçant et celui-ci eu le bon réflexe de fuir à la vue du canon. Robert regardait la scène par terre, hypnotisé par son « sauveur » et incapable de se relever. Alors qu’Alexandre se dirigeait vers lui, celui-ci se releva et lui dit :
- Oh Merci beaucoup mon Bon monsieur, je savais qu’on pou…
Mais il n’eu pas le temps de finir sa phrase que la crosse de l’arme d’Alexandre refaisait encore des siennes, l’homme s’étala une fois de plus par terre et Alexandre le regarda et lui dit :
- Ou est le fric d’Ab ? Tu pourras me remercier après me l’avoir donner.
Robert essuya le sang qui coulait de son visage, le nombre de bleus qui s’affichaient ainsi sur son visage faisait pitié à Alexandre. L’homme à terre répondit à Alexandre d’une voix presque inaudible :
- J’ai pas l’argent d’Ab, je l’ai perdu dans un Pari mais…
Cette fois c’était la botte d’Alex’ qui fit taire l’homme. Alexandre se baissa au niveau de son visage et le regarda de ses grands yeux bleus menaçants. Il lui dit alors d’une voix calme ou se mêlait rage et l’envie de meurtre mais avec un calme déconcertant :
- Je vais revenir demain. Si je ne te trouve pas avec l’argent je vais te tuer. Je te traquerais dans tout Paris s’il le faut. Les métros ne pourront même pas te cacher. Tu me comprends ? Je vais te tuer.
L’homme acquiesça d’un air terrifié. Il recula en rampant sur les fesses sur un mètre, ne voulant plus être confronté au regard menaçant du Chasseur de Prime. Il se releva et il annonça :
- Je trouverai l’argent… Oui oui !
Puis il partit en courant à toute vitesse, surement pour aller vider les tiroirs de sa cabane. Alexandre se demandait s’il aurait vraiment l’argent pour demain mais bon, il pouvait toujours croiser les doigts. Le chasseur de Prime traina encore un peu dans le village avant de tomber sur le bar des Pari, un bar qu’il avait fréquenté une ou deux fois. Lorsqu’il rentra, il fut submerger par une ambiance plutôt chaleureuse, les hommes discutaient paisiblement, certains parlaient un peu fort mais rien de gênant. L’intuition d’Alexandre le poussait à croire qu’aucun match n’était en train de se produire. Alexandre s’assit au comptoir et Robbie le regardait du haut de sa carcasse d’acier. Le chasseur de prime sortit un anneau de sa bourse, le déposa sur le comptoir et demanda au robot :
- Une bière s’il te plait, avec une paille si t’as…
Le robot acquiesça silencieusement et fouilla en dessous le comptoir. Il sortit une bière toute fraiche et une paille blanche à rayures jaunes et rouges. Le grand chauve se dit que sa fera l’affaire, de toute façon fallait faire avec. L’homme décapsula la bouteille avec la force de ses mains, introduisit la paille dans le récipient et ouvrit le trou de son masque prévus à cette effet. Manger et boire en tube c’était chiant… Il prit une gorgée de son breuvage et se laissa aller à la détente du Bar… Lorsqu’un homme s’installa à côté de lui, il le regarda de façon distraite et…
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| | | Inscription : 31/07/2012 Messages : 200 Maître du Destin | Sujet: Re: Des Paris à Paris. Jeu 25 Oct 2012 - 18:20 | |
| ... et après un coup d’œil à son voisin, le nouveau venu commanda la même boisson qu'Alexandre Fontaine. C'était un homme d'une quarantaine d'années au regard intelligent, brillant de malice, de corpulence assez forte. Une grosse barbe hirsute mangeait la moitié de son visage, finissant de donner l'allure à cet homme d'un vétéran des Terres Désolées ayant tout enduré. Il portait plusieurs besaces qui semblaient remplies. Il s'agissait, sans coup férir, d'un marchand itinérant. Robbie le robot lui servit une mousse et s'en retourna vers ses autres clients en mélangeant un cocktail au shaker. Le nouveau client tout juste servi porta la chope à ses lèvres et la but d'une traite, à longues et grandes lampées. Au bout de dix secondes, il reposa sa pinte, vide. Il essuya la mousse dans sa barbe d'un revers de manche et s'exclama en apostrophant son voisin de bar :
" Aaah ! Un bon p'tit rafraichissement, ça fait du bien, après tous ces jours passés dans les Terres Désolées, pas vrai ? Drôle d'engin qu't'à là autour du museau, mon gars. Qu'est ce qui t'es arrivé ? "
Avant que l'autre ne lui réponde, il commanda une autre bière à Robbie. Puis il reporta son attention vers celui qui allait peut-être lui narrer une anecdote assez folle pour qu'il l'ajoute à son propre répertoire d'histoires, déjà bien rempli.
" Tu serais pas joueur, des fois ? " Le type farfouilla dans ses poches et en sortit trois dés qu'il tenait à l'intérieur de sa paume. Il les fit s'entrechoquer ensemble en secouant la main, jetant un regard plein de malice - qu'on aurait pu aisément confondre avec un regard amical - à Alexandre. " On peut jouer dix anneaux. Qu'est ce que ça représente, hein ? Pas grand chose, pas vrai ? Et pendant ce temps, tu pourras me raconter ton histoire. "
Il sortit dix anneaux de sa poche et les posa sur le comptoir. " Ho, je me suis même pas présenté ! J'm'appelle Nico. Nico l'Indigo. " |
| | | Inscription : 17/08/2012 Messages : 267 Fonction : Modérateur Alexandre Fontaine | Sujet: Re: Des Paris à Paris. Sam 27 Oct 2012 - 8:57 | |
| Alexandre regarda l’homme qui venait de s’installer juste à côté de lui. Un homme qui avait l’air du coin d’après son apparence. Il commanda une bière et il se la but d’une traite ! Un sacré gaillard qui venait de se mettre à côté de lui. Le colosse le regarda quand celui-ci se mit à parler. Il laissa l’homme parler, croyant à la base qu’il avait affaire avec un ivrogne mais il s’agissait là d’un simple homme qui cherchait un peu de compagnie dans un Bar. L’homme lui fit remarquer son masque et lui demanda se qui lui était arrivé. Alexandre termina de boire sa bière à l’aide de sa sublime paille, la retira, remit le cache bien en place et voulut répondre mais l’homme se recommanda une autre bière. L’homme reporta son attention sur lui, lui demandant s’il n’était pas joueur en sortant trois dés. Alexandre eu un sourire invisible qui s’afficha sur son visage et attendit que l’homme finisse sa phrase sur « Dix anneaux ce n’est pas grand-chose ». C’est vrai que dix anneaux n’étaient pas grands choses comparés aux deux-cents anneaux que devaient Robert Tiennot à son Patron. L’homme se présenta sous le nom de Nico l’Indigo. Alexandre sortit dix anneaux de sa propre bourse et il répondit d’une voix calme que le masque modifiait un peu : - Moi c’est Alexandre Fontaine, Chasseur de la Guilde. Alexandre saisit les dés qui étaient maintenant sur la table. C’est vrai qu’une partie de 4-21 ne lui avait jamais fais grand mal, le chasseur de Prime en faisait souvent à la guilde avec ses camarades. Il secoua les dés longuement dans sa main et commença à raconter son histoire : - Pour en revenir à mon histoire, elle commence pas si loin, à l’arc de Triomphe ! J’étais marmot quand on m’a vendu à des Psychotiques. Quelle vie de merde me diras-tu ? Ces enculés de psycho’ avaient fait leur propre arène et tous ceux qu’ils achetaient ou capturaient se retrouvaient dans l’arène pour leur bon plaisir. Sympa comme divertissement ? Mettez trois hommes accompagnés d’une gamine contre une dizaine de Goule complètement décérébré et regardez le résultat. Un sacré carnage… Mais quelques années plus tard, il y avait des gens assez fous pour faire une rébellion parmi les esclaves, j’en faisais partie… Le jour de cette rébellion, j’avais réussit à faire la fête à trois de ses connards de Psycho’ quand un mec faisait trois têtes de plus que moi me tomba dessus. C’est comme ça que j’y ai perdu une partie de ma mâchoire. Ahah une sacré Anecdote ça !Il ne s’attarda pas là-dessus, il avait déjà un peu mentit sur son histoire. Il ne fallait pas oublier qu’il avait été acheté par des Tribaux et que les tribaux étaient tout de même mal vus par les simples survivants même ci cette tribu n’avait rien à se reprocher à part avoir acheté des enfants à l’arc pour leur donner un avenir meilleur. Alexandre lança enfin les dés et dit à l’Indigo : - Et toi ? C’est quoi ton histoire ? Il regarda tout de même le résultat : - Nombre aléatoire (1,6) :
- 2
- Nombre aléatoire (1,6) :
- 4
- Nombre aléatoire (1,6) :
- 1
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| | | Inscription : 31/07/2012 Messages : 200 Maître du Destin | Sujet: Re: Des Paris à Paris. Sam 27 Oct 2012 - 21:15 | |
| Le gars était un Chasseur de Primes. Pas toujours bien vus, comme métier, par ici, là où beaucoup de racailles et de psychotiques se donnaient rendez-vous pour les Matchs de Trashball. Mais Nico l'Indigo n'avait rien contre eux, lui. C'était un homme entrepreneur et avare, et son besoin d'aventures l'avait poussé à devenir Marchand. Mais après tout - et il s'était déjà fait la réfléxion plusieurs fois - entre Chasseurs et Marchands, la nuance est faible. Ce sont des hommes qui parcourent les Terres Désolées, et prennent l'argent là où il est, quitte à pigeonner ou assassiner quelques bonnes pommes. Surtout que Nico était pas vraiment le type de Marchand propre sur lui. Il aurait quelques affaires louches et quelques assassinats à son actif que personne dégringolerait de sa chaise en l'apprenant.
Le Marchand écouta le Chasseur narré son histoire avec un intérêt non-feint. Il avait toujours été passionnés par les aventures, les histoires, les commérages. C'était une façon comme une autre de prendre contact. Or, la prise de contact et le relationnel, on a beau dire, c'est important, quand on est Marchand. " C’est comme ça que j’y ai perdu une partie de ma mâchoire. Ahah, une sacré anecdote, ça ! " Le Marchand assimila mentalement l'histoire. Il la ressortirait peut-être un jour. Une histoire d'arène avec des goules, une histoire de rébellion d'esclaves, une histoire de combat épique et un homme à la mâchoire métallique ! Y avait de quoi faire une épopée entière pour le baratineur de Marchand qu'il était ! " Et bha... Quelle histoire ! "
Le type lança les dés. Un 421 sortit. Du premier coup. Nico en fut scié à la base. Et vexé, aussi. Il aimait joué, mais aimait surtout gagner. Sur un ton qui devint d'un coup plus amère, le Marchand s'exclama devant la chance du joueur : " Et bha t'as vraiment le cul bordé de nouilles, toi ! Un 421 du premier coup ! " Prenant les témoins à porter de main à parti, il donna un coup de coude à son voisin de bar qui venait juste de commander une bière que Robbie était en train de lui servir. " Nan, mais t'as vu ça ?! Bon Dieu, si les dés étaient pas sortis de ma poche, j'aurais dit qu'ils étaient pipés ! C'est vraiment d'la chatte que t'as là, Alexandre ! Pô vrai qu'il a d'la veine, le gaillard ? " insista le Marchand auprès d'Axel. " Bon, allez. A moi de jouer. "
D'un geste fulgurant, il rassembla les trois dés dans sa main et les jeta.
- Nombre aléatoire (1,6) :
- 5
- Nombre aléatoire (1,6) :
- 4
- Nombre aléatoire (1,6) :
- 5
Pendant que les dés roulèrent sur le comptoir abimé, Nico l'Indigo repris : " En tout cas, dans l'genre histoires de barjots, tu t'poses, mon vieux ! Mais nom de Dieu, - crois moi, crois moi pas - j'te jure que j'en ai vu et entendu des belles dans ces Terres ingrates. Et même, des histoires qui sont pas près d'être détrônées de leur place de plus singulières, dans l'genre loufoque. Tiens, la s'maine dernière, j'passais avec ma caravane de marchandise à travers Paris, puis t'sais comment c'est, des baraques en ruines, tout l'bazar. Et bam, on tombe sur un Manoir, mais alors v'là l'Manoir ! Un truc lugubre, entouré d'un épais brouillard ! Et puis surtout, un des seuls bâtiments encore debout dans l'périmètre. Alors, la nuit commençant à arriver, j'me dis que ça pourrait faire un bon refuge. M'inspirait pas trop confiance, c'te bicoque, mais les gars étaient fatigués, et les bêtes aussi. Alors on entre, on regarde partout, rien. Personne de chez personne. Déserte, la baraque. Alors on commence à s'installer dans c'taudis, tout s'passe bien, on avait pris not' repas chaud, puis là, y a eu comme un coup de froid. Mais pas un froid naturel, tu vois ? Y a un des types de l'escorte, il commence à paniquer, et il se met à tirer dans les murs, le con, tu vois l'genre ? Et là, BAM ! Là, ta sa tête qui explose, y avait d'la cervelle partout. Mais y avait pas eu un seul coup d'feu dans sa direction. "
Sentant que la moutarde commençait à prendre, Nico l'Indigo marqua la pause, avec un sourire en coin, et but, lentement, sa bière, pour faire monter l'intensité de la narration.
Dernière édition par Maître du Destin le Sam 27 Oct 2012 - 21:52, édité 1 fois |
| | | Age IRL : 29 Ville IRL : Avignon Inscription : 31/08/2012 Messages : 488 Fonction : Admin Axel Courtain | Sujet: Re: Des Paris à Paris. Mar 30 Oct 2012 - 12:40 | |
| - Spoiler:
Mon post éffacé à été une grande érreur et on fait comme si de rien n'étais désolé mille fois
Axel avait jeté un petit coup d'oeil furtif quand ce Alexandre Fontaine avait tiré les dés, et alors là jamais il n'avais vu quelqu'un faire un 421 du premier coup, 420 ou 422 peut être mais pas 421, il crut au début à un tour de passe ou autre mais Axel se souvint alors que c'est l'autre homme qui les avit sorti de sa poche alors c'est ne qu'une putain de chance ce que l'homme à côté de lui définit aprés lui avoir donné quelques coups de coude : " Nan, mais t'as vu ça ?! Bon Dieu, si les dés étaient pas sortis de ma poche, j'aurais dit qu'ils étaient pipés ! C'est vraiment d'la chatte que t'as là, Alexandre ! Pô vrai qu'il a d'la veine, le gaillard ? "L'homme lança à son tour les trois dés qui roullérent sur le vieux comptoir du bar et s'arretérent sur un 545, lui par contre avait moins de chance c'est sûr qu'un 421 du premie ron en voit pas à tous les coins de rues aprés avoir recommandé une biére qu'il bû d'untre traite Axel écouta alors ce que les deux hommes se dirent entre eux, l'homme là : Marco ? Non ce n'est pas ça, c'est autres chosses, Théo... Nico oauis ! C'est ça Nico lui racontait alors une histoire sur un manoir dans lequel ils s'étaient reposaient avec son équipe et dans lequel ils avaient été attaqué : un manoir lugubre d'aprés ses dire :Alors, la nuit commençant à arriver, j'me dis que ça pourrait faire un bon refuge. M'inspirait pas trop confiance, c'te bicoque, mais les gars étaient fatigués, et les bêtes aussi. Alors on entre, on regarde partout, rien. Personne de chez personne. Déserte, la baraque. Alors on commence à s'installer dans c'taudis, tout s'passe bien, on avait pris not' repas chaud, puis là, y a eu comme un coup de froid. Mais pas un froid naturel, tu vois ? Y a un des types de l'escorte, il commence à paniquer, et il se met à tirer dans les murs, le con, tu vois l'genre ? Et là, BAM ! Là, ta sa tête qui explose, y avait d'la cervelle partout. Mais y avait pas eu un seul coup d'feu dans sa direction. "Putain d'histoire à te glaçer le sang, un ennemie insible bordel voilà le genre de chose qu'Axel n'avaient jamais vu et ne voulait pas voir, Axel commençait à avoir chaud dans sa tenue de la FNF et recommanda une biére, mais Axel venait de se souvenir de quelque chose, importe ceci-dit, le plus troublant c'est que cette endroit lui disait quelque chose comme si il avait déjà entendu cette histoire quelque part, un manoir où les habitants se font atttaquer par quelque chose d'insisible mais oui c'est ça..."Le manoir hanté" Dit Axel lâcha Axel tout haut sans faire exprés. Juste àprés avoir dit ça l'assemblée se retourna vers lui et tous le mond ele regarda. "Quoi un probléme les gars ?" Les conversations reprirent et Axel recommanda encore une biére qu'il bû d'une traite. |
| | | Inscription : 31/07/2012 Messages : 200 Maître du Destin | Sujet: Re: Des Paris à Paris. Ven 2 Nov 2012 - 20:45 | |
| A la suite de son histoire, l'anonyme voisin du narrateur s'exclama, un peu trop fort pour en pas attirer l'attention des personnes les plus proches." Le Manoir Hanté ! " Les discussions s'interrompirent un instant. Pour dissiper la gêne, le type s'exclama avec agressivité aux autres clients, qui, ne cherchant pas à se faire démolir pour un regard par un fou furieux notoire, reprirent leurs conversations, non sans jeter discrètement des regards suspicieux, méfiants, voir franchement inamicaux, à l'homme qui avait parlé.
Machinalement, Nico l'Indigo reprit les dés, tout en appréciant intérieurement de voir son histoire susciter l’intérêt de ses voisins." Tout juste Auguste ! Le Manoir Hanté ! Et si il nous était arrivé que ça encore ! Je garde le 4. " Il relança les deux 5.
- Nombre aléatoire (1,6) :
- 5
- Nombre aléatoire (1,6) :
- 4
Sans en dire plus, il questionna celui qui avait parlé trop fort." Tu connais la baraque ? Qu'est ce que tu sais à propos de ce Manoir Hanté, p'tit gars ? " L'histoire de fantôme commençait à faire son petit effet. Les dés céssèrent de rouler, et affichèrent leur score." Ah ! " |
| | | Age IRL : 29 Ville IRL : Avignon Inscription : 31/08/2012 Messages : 488 Fonction : Admin Axel Courtain | Sujet: Re: Des Paris à Paris. Ven 2 Nov 2012 - 21:58 | |
| Sans en dire plus, il questionna celui qui avait parlé trop fort. " Tu connais la baraque ? Qu'est ce que tu sais à propos de ce Manoir Hanté, p'tit gars ? "La question venait d'être posé par l'énigmatique homme d'à côté Nico l'indigo, Axel qui n'avait rien contre lui décida de lui raconter d'où ce lieu lui avait été conté il décida alors de répondre à la question de Nico'
" J'ai comment dire.. entendu certaines rumeurs ça et là lors de mes nombreuses prospections et ce manoir en fait partie. D'aprés ce que je sais c'est que la plupart des gens qui y sont re-sortis l'ont pas fait en un seul morceaux. Quelquechose à l'intérieur aurait une dent contre les personnes qui s'y reposeraient ou qui essayeraient de s'installer : ce que c'est ? Ch'ais pas du tout ; d'aprés les rumeurs : un fou un tueur qui tuerait qui que se soit qui y entrerait , d'autres disent un mutant, un monstre sanguinaire tuant pour se nourrir ou bien encore d'autres des fantômes ceux des anciens propriétaires peut être ? Je sais pas plus qu'un autre moi m'sieur " Dit alors Axel d'un ton calme et angevin ayant retrouvé son calme. " C'est tous ce que je sais, ni plus ni moins, un lieu attrayant certes mais qui à l'air surtout assez dangereux dont un homme seul comme moi ne trouverait que la mort " Dit alors Axel toujours à Nico |
| | | Inscription : 31/07/2012 Messages : 200 Maître du Destin | Sujet: Re: Des Paris à Paris. Jeu 15 Nov 2012 - 18:42 | |
| " Toutes ces rumeurs sont bien loin de la réalité, mon gars ! " enchaîna le narrateur à l'attention de celui qui s'était déclaré. " Noooon. Un fou psychotique, ou même un mutant sanguinaire, ce sont des êtres de chairs ! Des choses que l'on peut abattre, si on a suffisamment de sang-froid, d'intelligence et d'adresse ! Noooon, mon gars. Ce qui ce cache dans ce Manoir Hanté est bien pire que toutes ces rumeurs émoussées."
Le gros barbu tira de sa veste usées une petite pipe de bois. De ces pipes que fumaient d'inquiétants vieux marins dans les comptoirs d'alcool d'autrefois, sur les quais. Il bourra le foyer d'un tabac épais. Une allumette craqua, et la fumée s’éleva après quelques bouffées sinistres pour attiser le feu.
" Tu sais, c'manoir ne porte pas son nom pour rien. La vérité, mon gars, c'est que seuls ceux qui ignorent, consciemment ou par méconnaissance, l'horrible légende qui entoure c't'endroit ... " il marqua une pause, plongeant son regard gris dans les yeux d'Axel Courtain, avant de reprendre sur un ton sinistre " ... osent s'y aventurer. Et d'ceux-là, j'ai fait parti. J'connaissais pas cet endroit maudit. Et j'peux donc te l'affirmer, cet endroit est hanté par un fantôme qui prend les âmes et fait défaillir les plus solides des hommes ! Quand la tête de notre ami a éclaté, après ce froid glacial qu'on a tous ressenti, moi et les deux autres gars, on s'est précipité vers l'extérieur, en abandonnant tout nos biens ! Et j'peux te dire qu'y en avait pour du pognon ! "
L'homme reprenait le fil de son histoire, et bonimentait les deux intéressés. Il affabulait, c'est vrai. Jamais il n'avait été dans cette bicoque. Mais, très bon narrateur, et habile menteur de par sa fonction de marchand, il savait parfaitement embellir l'histoire qu'on lui avait déjà narré, et il savait pertinemment qu'un récit à la première personne était bien plus captivant. On s'y serait cru, à l'entendre. Il faut dire que l'homme savait créer une atmosphère par sa gestuelle, sa voix et ses mots. A aucun moment les deux auditeurs n'auraient pu accuser l'homme de ne pas avoir été dans ce Manoir, tant ses mots semblaient être ceux de celui qui a vu de ses yeux.
" Et pendant qu'on se précipitait dans le couloir, et qu'on allait entrer dans le vestibule précédant la porte, je l'ai vu ! De mes yeux, vu ! Le Fantôme ! Il marchait, simplement, traversant le vestibule en face de nous, le regard vide, les gestes lents, la peau si livide qu'on voyait à travers ! Je le jure, sur tous les Dieux, toutes les Bibles, et que ma mère soit damnée en Enfer pour l’Éternité si je mens, je vous jure que j'ai cru qu'mon cœur allait lâcher ! Il s'est placé au milieu du vestibule, sans nous regarder, pendant qu'on était paralysés de terreur tout trois. Et une fois au milieu, il s'est arrêté, et avec une lenteur effrayante, il a commencé à se tourner vers nous ... Ma terreur était si forte qu'à ce moment là, j'ai fermé les yeux pour ne pas croiser le regard de cette chose revenue d'entre les morts ... J'étais plus pitoyable qu'un gamin devant sa peur irrationnelle d'être emmené par le Petit Peuple. C'était ça ... Irrationnel et incontrôlable.
Il chuchota : " J'ai un peu honte de vous dire ça, mais mes sphincters et ma vessie ont pas résisté ... Et j'suis pourtant pas l'genre de type à m'pisser d'ssus au moindre coup d'feu dans ma direction, 'voyez ?"
Il reprit normalement après cet aveu honteux, inventé de toute pièce pour intensifier son récit. " BREF ! J'ferme les yeux et j'chope la trouille de ma vie, j'étais à deux doigts d'en crever. Et alors là, j'entends, un cri d'outre-tombe, sépulcral ! Strident, le genre de truc inhumain ! Le genre de truc que t'as jamais entendu dans tout-Paris, sous terre, comme au dessus ! J'porte mes mains à mes oreilles en hurlant comme un dingo, et j'ferme les yeux si forts que j'm'en s'rais fait péter les paupières, sans déconner ! "
Il tire une bouffée sur sa pipe.
" Puis là ... Plus rien ... Le cri s'arrête subitement après un moment qui m'a semblé interminable, et j'me retrouve à gueuler tout seul. Et après ça, j'suis resté les yeux fermés, les mains sur les oreilles, pendant un autre moment qui m'a semblé interminable. Ptêt que c'était une heure. Ptêt que c'était une minute. Honnêtement, j'saurais pas dire. Mais quand j'rouvre les yeux, y avait plus rien. Et à côté de moi, mes deux gars qui m'accompagnaient étaient raides morts, avec une expression figée sur le visage, comme s'ils avaient vus le Diable en personne.
J'ai couru et j'suis sorti d'cet Enfer. "
Une nouvelle bouffée de fumée s'éleva au-dessus de la tête du narrateur, dans un silence sobre après cette chute.
" A ma connaissance, j'suis l'seul qui soit jamais ressorti vivant d'cette bicoque maudite. "
Ainsi le narrateur terminait-il son histoire d'horreur, contée avec toutes ses tripes. Intérieurement, il exultait, pas peu fier de son récit. Mais en réalité, cela le mettait aussi un peu mal à l'aise. Certes, il n'y avait jamais foutu les pieds, mais il se souvenait de celui qui lui avait raconté l'histoire. Cette histoire lui avait foutu une trouille bleue. C'était une histoire assez connue, surtout chez les Marchands itinérants de la Capitale, ces pipelettes toujours à l'affut de récits, de commérages et de rumeurs pour passer le temps pendant leurs trajets et leurs veillées au coin du feu. Mais l'homme qui lui avait raconté avait sans doute fait encore mieux qu'il venait de le faire à l'instant, et plusieurs rires nerveux avaient entravés le récit. Des rires nécessaires pour évacuer l'angoisse qui avait saisi Nico à ce moment là. |
| | | Age IRL : 29 Ville IRL : Avignon Inscription : 31/08/2012 Messages : 488 Fonction : Admin Axel Courtain | Sujet: Re: Des Paris à Paris. Mer 21 Nov 2012 - 19:28 | |
| " A ma connaissance, j'suis l'seul qui soit jamais ressorti vivant d'cette bicoque maudite. " Nico venait de terminer son petit récit, Axel avait assez bien assimilé toutes les informations de Nico, mais malgrés son récit il n'y croyait pas vraiment malgrés toutes les saloperies qui avaient vu le jour, d'aprés lui et c'était sûr les fantômes n'existaient bel et bien pas. Mais ce qui intéréssé Axel c'était surtout le magot, certes Axel ne courrait pas touojurs dérriére l'argent mais soyont un peu honnête dans ce monde ta l'argent ou rien, mais une question brûlé les lévres d'Axel : [Intelligence7] - " Dîtes moi monsieur l'Indigo, vous nous racontez cette histoire c'est une chose, mais je sais que vous ne le faîtes pas de façon annodine n'est ce pas. Dit alors Axel en allumant une cigarette
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| | | Inscription : 31/07/2012 Messages : 200 Maître du Destin | Sujet: Re: Des Paris à Paris. Jeu 22 Nov 2012 - 21:49 | |
| " Dîtes moi, monsieur l'Indigo, vous nous racontez cette histoire, c'est une chose, mais je sais que vous ne le faîtes pas de façon anodine, n'est ce pas ? " déclara avec sagacité l'un de deux hommes, en s'allumant une cigarette. " Hooo ... Presque anodine. Je suis bavard de nature. Mais si t'as pas les foies des fantômes, p'tit gars, tu peux toujours aller voir par toi-même ! Et ça vaut aussi pour toi, mon gars !" enchaîna le barbu en apostrophant son deuxième voisin, Alexandre, qui était resté muet jusqu'à là. " Pour sur que vous trouverez mes marchandises. Mais vous savez quoi, si vous les trouver, je vous les laisse de bon cœur ! "Evidemment ... Les marchandises abandonnées, comme l'histoire, étaient fictives. Mais si il était impossible de retrouver le stock de l'Indigo, il y aurait sans doute d'autres biens dans ce Manoir qui auraient de la valeur, et sauraient apporter satisfaction aux explorateurs avares et téméraires ... Et d'ailleurs, le marchand, qui était vicelard et joueur, lança mine de rien : " Mais je vous parie 100 anneaux chacun que vous oseriez pas y foutre les pieds, dans ce Manoir Hanté ! Pour preuve de votre passage, je vous demande de me rapporter votre histoire, si jamais vous revenez vivant, et des photographies ! "Le type fouilla dans sa besace et en sortit un appareil photo polaroid, et un film-pack polaroid pouvant permettre de faire 8 photos. Il posa le tout sur la table. " Une photo des, ou du fantôme(s), serait extraordinaire, et je vous paierais le triple. Chacun, toujours. Alors, tentés, les aminches ? "L'Indigo reprit les dés qu'il avait laissé, les secoua vigoureusement, et les lança, pour achever cette partie de 4-2-1 en suspens. - Nombre aléatoire (1,6) :
- 4
- Nombre aléatoire (1,6) :
- 5
- Nombre aléatoire (1,6) :
- 4
Il poussa un râle de mauvais perdant, et sortit sa bourse pour payer les 10 anneaux. |
| | | Inscription : 17/08/2012 Messages : 267 Fonction : Modérateur Alexandre Fontaine | Sujet: Re: Des Paris à Paris. Ven 7 Déc 2012 - 15:58 | |
| Un Homme était arrivé alors que l’Indigo racontait son histoire. Il semblerait que cette histoire de Manoir avait fait le tour de Paris ! Et à en croire l’Indigo, se Manoir craignait vraiment et il était le seul à en être sortit. Alors que la discutions entre les deux hommes semblaient s’éterniser, l’homme mis en jeu cent anneaux, oui bien cent anneaux, pour les deux hommes si ils restaient dedans et prenaient quelques photos. Alexandre ne savait que faire sur le coup, sa flairait bon l’arsouille juste pour cent anneaux. C’est alors que l’homme monta le prix au triple s’ils ramenaient une photo du fameux fantôme. Et si c’était simplement une bande de psychotiques qui foutaient le bordel avec du maquillage ? Alexandre sourit en dessous de son masque, ramassa les dix anneaux qu’il avait gagné grâce à la partie de dés et il dit finalement quelque chose calmement :
- Parie tenus l’ami ! On va y aller dans ton manoir et on va t’en prendre des photos ! Tu vas me noter l’endroit ou se trouve se Manoir et on ira.
Il se tourna vers le deuxième homme et il dit d’une façon posé : - Avec ou sans toi, tu as le choix.
Il sortit sa carte de Paris, la posa sur le comptoir le temps que l’Indigo lui indique ou il se trouvait. L’homme au masque attendit patiemment et une fois que cela fut fait. Il regarda le jeune homme et lui dit clairement :
- Tu prends l’appareil photo, ça risque de m’encombrer sur la route vue tout le matos que j’ai sur moi.
Il était vrai qu’il manquait un peu de place. Son fusil en bandoulière, son flingue dans sa poche et il ne possédait pas de sac. N’oublions pas qu’il était venu pour une simple histoire d’argent et qu’il ne s’attendait pas à vivre l’histoire du siècle. Une fois que Nico eu finit de marquer l’emplacement du Manoir, Alexandre le salua d’un vif hochement de tête et prit la route sans attendre. Il était pressé de voir se fameux Manoir Hanté, une vraie histoire de môme ! Il regarda sur la carte ou se trouvait le Manoir, regarda l’homme sui l’accompagnait et lui annonça :
- Moi c’est Alexandre Fontaine, Chasseur de Prime. C’est quoi ton nom ?
Il écouta la réponse de son compagnon tout en marchant vers la destination voulue.
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| | | Age IRL : 29 Ville IRL : Avignon Inscription : 31/08/2012 Messages : 488 Fonction : Admin Axel Courtain | Sujet: Re: Des Paris à Paris. Ven 7 Déc 2012 - 16:56 | |
| - Moi c’est Alexandre Fontaine, Chasseur de Prime. C’est quoi ton nom ?
-Axel, Axel Courtain , je suis .. enfin bref. Il récupéra le vieil appareil et suivit Alexandre. Axel ne savait pas si c'était une bonne idée mais, il se dit qu'a deux se serait certainement plus facile. |
| | | Inscription : 31/07/2012 Messages : 200 Maître du Destin | Sujet: Re: Des Paris à Paris. Ven 28 Déc 2012 - 19:31 | |
| L'Indigo avait glissé une carte de Paris indiquant l'endroit précis du Manoir dans l'enchevêtrement de ruelles et de masures toutes plus ruinées les unes que les autres de ce qui constituait la ville-Lumière après la chute des bombes. Les deux chasseurs de fantômes auraient bien le temps de faire connaissance sur la route qui y menaient. Déjà équipés de leurs armes, et le coeur mené par l'avarice, ils se mirent en route en direction de leur sinistre destination. [la suite ici : http://www.fallout-requiem.com/t385-le-manoir-hante#2513 ] |
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