Nom : Tapekunkou (Vous vous en doutez, c'est pas son vrai nom, mais c'était ce que lui disait le Capitaine d'équipe au Trashball « Théo, tape qu'un coup ! », depuis, c'est resté.).
Prénom : Théopold, surnommé T-O, car c'est ce qui est marqué sur son ancien maillot de Trashball, qu'il garde toujours sur lui. Jamais lavé, jamais enlevé. Je vous laisse imaginez l'odeur.
Race : Mutant, avec toutes ses dents !
Date de Naissance : 11 février 2055, à midi douze.
Description physique :T-O est grand, verdâtre, affreusement moche (même pour les standards de sa race), et il pue autant qu'une fosse sceptique jamais nettoyer. Mais ce serait trop réducteur et bien trop facile pour expliquer qui est ce Mutant. Tout d'abord, il est grand, mesurant facilement 2 mètres 30, même s'il doit être plus grand que cela étant naturellement voûté, comme une sorte de gorille glabre. En parlant de gorille, ses muscles sont dignes de ceux du légendaire primate, aussi puissants, mais quand même moins poilus. En effet, T-O n'a strictement aucun poil. Rien, nada, petzouille. De la taille d'un torse humain aimant bien manger à la cantine, ses derniers sont certainement son arme favorite, après sa masse, et avant son fusil à pompe offert par Seppi lors de leurs 5 ans de collaboration. T-O court vite, pas aussi vite que les meilleurs coureurs de Trashball, mais assez pour surprendre un humain lambda, ou une goule lambda. Pour les mutants, c'est moins facile à juger, car tous les mutants cours pour se déplacer. Niveau poids, il reste dans les standards de sa race, environ 250 à 270 kilos, même si personne n'a jamais vraiment penser à le peser. De nombreuses cicatrices parcourt son corps, du fait de sa vie aventureuse et du fait aussi qu'il combat principalement au corps à corps, suffisamment proche pour être à portée de main en tout cas.
Description psychologique :Pour faire simple, si vous voulez demander à ce mutant de résoudre un problème demandant un minimum de réflexion, vous fatiguez pas, cela ne sert à rien, en plus, il pourrait être vexé, et croire que vous vous moquez de lui, et c'est mauvais. Car oui, cette montagne de muscle tout en sueur est susceptible, très susceptible, à tel point qu'il pourrait arracher les bras de quelqu'un pour un « Eh vous pouvez pas regardez où vous marchez ? » tout a fait banal. Je vous laisse deviner ce qu'il se passe quand quelqu'un l'insulte. Néanmoins, avec Seppi, il essaye de faire des efforts, même si des fois, c'est peine perdu et qu'il pète royalement un plomb, faisant trembler de peur tous ceux pas assez costauds ou armés pour l'arrêter. Les seuls qui ne risquent à peu près rien ce sont ceux de la Guilde des Chasseurs de Primes, même s'ils savent tous qu'il faut pas trop le titillé non plus. Faut pas déconner. T-O n'aime pas beaucoup de chose, mais certaines restent inchangés. D'abord, T-O aime l'alcool, ou plutôt se bourrer la tronche jusqu'à vomir ses tripes, et si c'est sur quelqu'un, ça le fait encore plus rigoler. Il aime également, depuis qu'il connais Seppi, les lupanars, même s'il trouve que les cadavres sont moins jolies que les humaines. Il ne connaît pas vraiment de prostituée mutante, donc il ne peut pas comparé. A part ça, vous l'aurez compris, Théopold aime broyer, massacrer, pulvériser, écarteler, déchiqueter et j'en passe tout ce qu'il peut cogner, car oui, c'est un violent psychopathe dans un monde de sociopathe. Si vous lui poser la question si le monde est mieux avant que maintenant, il vous répondra qu'il trouve que maintenant, c'est vachement plus rigolo. Ah, et il a une passion pour le Piaf, mais si, vous connaissez, celui qui chante « Non, rien de rien … Non, je ne regrette rien ... »
SPECIAL :Compétence | Strength | Perception | Endurance | Charisma | Intelligence | Agility | Luck |
Valeur | 9 | 7 | 9 | 4 | 3 | 4 | 4 |
Histoire :Avant la Mutation, il y avait l'Humanité …Théopold a été ce que les Français appelaient un « enfant accidentel », pas vraiment voulu, pas vraiment aimé, pas non plus haïs, il est là, ses parents devaient donc faire avec. Petit dernier d'une fratrie de 12 enfants, il était ni plus ni moins le petit-frère que les grands s'amusaient à frapper, et il répondait coup pour coup, goûtant de nombreuses fois au ceinturon paternelle, ou au coup de poing dévastateur de son frère aîné. Difficile d'être né en 2055. La vie devenait de plus en plus rude, et la famille parisienne vivant dans une des très nombreuses banlieues pauvres de la Ville Lumière n'arrangeait rien. La peste non plus, d'ailleurs. Le pays était ruiné, la mère de cette famille gigantesque vendait son cul aux soldats et à tous ceux ayant de quoi payer ses services. Pour ne rien arranger, le père dilapidait la … fortune, si on peut dire, familiale pour l'un des plus gros vices de l'humanité, l'alcoolisme. Les bambins, eux, devaient se débrouiller, seuls. La guerre qui rôde aux frontières, Théopold s'en fichait, il était bien trop jeune pour réellement comprendre, et il fallait dire qu'il s'en tapait comme de sa première cuillère. Quoi que si, une chose était bien, l'aîné et trois de ses frangins moururent, que ce soit au front ou de famine. Théo s'en fichait encore, il ne pensait qu'à trouver à manger, c'était le dernier, il mangerait les restes, ce qu'il n'y avait jamais de toute façon. Il fallait voler les autres pour se nourrir, pour survivre et vivre encore jusqu'au lendemain … Nous sommes en 2068. La vie continua, encore, toujours. Le gouvernement français fût dans les premiers à fuir, laissant le soin aux autorités chinoises de nourrir les populations, mais cela ne dura pas. En 2074, Théopold venait d'avoir 19 ans, le corps d'un homme mais toute l'insouciance de la jeunesse. La plupart de ses frères avaient été tué, que ce soit par rapport à la résistance, ou bien la peste. Sa mère, elle, fût tué par son père et lui fût retrouvé noyé dans son propre vomi. Il était seul, mais sa famille n'en était pas vraiment une, alors il devait survivre, encore, toujours. Et pleurer sur des cons n'a jamais été son truc. Mais cette année, quelque chose de terrible, ou de bénéfique, tout dépend de qui le perçoit, lui arriva …
Après l'Humanité, la Transformation.Le petit jeune courait, encore et encore, une boite de thon entre les mains, poursuivis par plusieurs mômes de son âge. Il était poursuivi depuis plus de 10 minutes, apparemment, il était entré dans le mauvais territoire. Il ne savait plus vraiment où dans Paris, mais qu'importe. Fuyant ses agresseurs, il rentra dans un bâtiment militaire abandonné depuis peu. De nombreuses troupes chinoises quittèrent la France, la plupart des habitants ignorant pourquoi d'ailleurs, mais la vie fût encore plus dure. Plus de nourriture, plus de sécurité, déjà toute relative, plus rien. Le pays était ravagé par la guerre, et il en portait encore les stigmates. Théopold courait toujours, encore, essayant d'échapper à ses poursuivants. Il se trouvait dans une sorte de laboratoire, et il pouvait voir des cuves gigantesques remplis d'un liquide qu'il ne connaissait pas, le VEC (Virus à Évolution Forcée). Cherchant un endroit où se cacher, il fini par tombé nez à nez avec un de ses poursuivants. Ils se battirent violemment, cherchant tous deux à prendre le dessus l'un sur l'autre. Ils finirent par tombés dans une des cuves de ce mystérieux liquide, et loin de les dissuadés d'arrêter, ils continuèrent. Finalement, Théopold réussit à prendre le dessus, noyant son agresseur en maintenant sa tête dans cette mixture. Réussissant tant bien que mal à se sortir de la cuve, il réussit à s'échapper du complexe, espérant sauver sa vie de ses poursuivants. Il rejoignit un immeuble abandonnée, et espéra manger sa précieuse boite de thon. Il ne savait pas que la plus intense des douleurs l'attendait au tournant. Ses cheveux commencèrent à tomber, par poignée entière, et il se retrouva aussi glabre qu'un fœtus. Son corps ne cessa de se développer, et d'homme maigrichon, il devint un véritable géant, mesurant plus de 2,30 mètres. Les muscles de toute son anatomie se développèrent, lui donnant l'apparence d'une sorte de gigantesque bodybuilder accro aux stéroïdes. Sa peau changea de couleur, devenant de plus en plus verdâtre. Ses yeux prirent une couleur rouge sang. Bien que la douleur était intense, voir intenable, ce n'était pas le pire. Psychologiquement parlant, il fît une récession de ses capacités intellectuelles, devenant, de plus en plus primal, et souffrant de crise de colère incontrôlable. Il devint ce que les hommes appelèrent un Super-Mutant. Lui peu lui importait, il était bien plus fort que n'importe qui, et il prenait ce qu'il voulait.
La Transformation amène à la Barbarie.Théopold devint un Super-Mutant ultra violent, ne comprenant pas ce qu'il se passait, et la peur qu'il exerçait chez les humains normaux l'agaçait. Toujours affamé, toujours énervé, il n'hésitait plus à utiliser la violence pour obtenir ce qu'il voulait, comme de la nourriture, des vêtements, ou même des femmes qu'il abusait et réabusait, en jetant un peu plus loin ses pauvres victimes en plusieurs morceaux. Il se cacha dans les profondeurs du Métro Parisien, et rencontra quelques infectés, comme lui. Ils étaient incontrôlables, et toutes personnes qui tombèrent dans leurs mains furent broyés, déchiquetés, mangés. Cela dura quelques temps, quand tout à coup une sirène se déclencha dans toute la Capitale. Quelques personnes se mirent à aller dans ce qui fût appeler les Abris, mais beaucoup, lassé par les exercices, ne firent rien. Théopold mangeait un chien égarer quant-il sentit la Terre tremblé et surtout, un bruit assourdissant. A moitié sourd, il chercha la source de ce capharnaüm et remonta à la surface. Ce qu'il vit le stupéfia. La ville, déjà en piteux-état depuis le départ des forces chinoises, fût plus ou moins rasés par une sorte de tempête cataclysmique, les Bombes Nucléaires. Les vitres n'existaient plus, la plupart des monuments furent détruits, Les bâtiments étaient tous plus ou moins effondrez … Beaucoup d'humains furent tué en l'espace d'un instant, mais certains survécurent. C'était le début de l'Apocalypse, et le gigantesque mutant était l'un des survivants. Le monde comme il était n'existaient plus, le Chaos était devenu Loi, et ce fût le règne des gens comme Théopold. Les bêtes changeant, devenant de plus en plus agressives, changeant radicalement de forme, de poids, de tailles et même de régime alimentaire. En l'espace de 3 ans, la vie fît un bon en avant dans l'évolution, créant des créatures plus ou moins grotesques, ou extrêmement dangereuse. Les humains ayant survécu furent eux aussi modifiés, et devinrent des cadavres plus ou moins sauvages, et ayant une tel odeur que même les plus affamés des mutants rechignèrent à manger de tels créatures. Pour survivre, il devait pillé les magasins, chassés, et surtout se défendre des autres Mutants formant des bandes plus ou moins importantes et des Goules devenues aussi féroces que folles.
De la Barbarie à la Gloire.Cela dura quelques dizaines d'années, les irradiés vivants avec les infectés dans une paix fort relative. Théopold n'était plus considérer comme un sauvage sans cœur, car il vivait maintenant dans un monde où la Survie était vitale, même capitale. Le retour des humains le laissa plus ou moins pantois, bien que les premiers contacts avec la population non-modifié furent couronné d'immenses boucheries. Des villes furent créer, des communautés reconstruites, et le Mutant devait s'adapter. N'étant plus un « Monstre », il était devenu une espèce différente, et le fait que sa race était assez conséquente le rassura, calmant sa colère, avec plus ou moins de difficultés. En 2168, vadrouillant dans les étals du Marché de la Gare, comme garde du corps pour un marchand peu scrupuleux avec ses clients, il fît la rencontre d'une personne qui changea radicalement sa vie, le Capitaine de la toute jeune équipe, les « Crashs Cogneurs » d'un sport tout nouveau, le Trashball. Le travail était simple, il devait faire le plus de mal possible aux joueurs adverses, sans faire mal à ceux qu'il devait appeler maintenant coéquipier. Et il devint très vite bon à ce sport, bloquant de toute sa force brute ceux qui ne portaient pas le même maillot que lui. Il gagna son surnom, T-O, voulant simplement dire Théo, Théopold étant bien trop long à écrire pour lui, et les supporters scandaient son nom de joueur avec plus de facilité. Il devint l'un des joueurs les plus connus du sport, étant l'un des plus violents. Il remporta le record du joueur le plus souvent exclu du match, pour avoir blessés gravement ses adversaires et causant accessoirement leurs morts et aussi pour ses crises de colère légendaire sur les arbitres finissant la plupart du temps plaqués en traître, et la tête écrabouillé par son pied gigantesque. Finalement, il fût renvoyé de l'équipe, non pas pour les fautes, mais sur le fait qu'il devint bien trop cher pour une jeune équipe d'entretenir un joueur ne jouant pas vraiment collectif, et même misant plus sur la brutalité que sur le sport. Inintéressant pour les grosses équipes, il tomba, peu à peu, dans l'oubli.
De la Gloire à la Camaraderie.Finalement, il revint à la case départ, devenant un nomade, et se retrouva à Métropolitopia, à boire plus que de raison dans un des bars miteux de la ville. Personne ne l'embêtait, étant donné que le Mutant, même pour son espèce, était incroyablement susceptible, et qu'il avait la Masse facile, son arme favorite. Picolant dans son coin sans emmerder personne, il pouvait voir toutes les personnes entrant dans le bar. Il fût surpris de voir une goule, habillé d'une drôle de façon, avec un manteau lui arrivant jusqu'au cheville. Il était armé d'un drôle de fusil aussi. T-O n'aimait pas les fusils, pour la simple et bonne raison qu'il ne savait pas visé. Il préférait le corps à corps, se ruant sur sa victime en lui hurlant des insanités qui feraient rougir une pute. T-O n'avait rien contre les goules, certaines étaient sympas, d'autres moins, et d'autres encore étaient de sacrés couillons. Mais bon, c'était partout pareil, dans cette ville. Il ne fallait se fier à personne, seul la survie dépendait. T-O claqua son dernier anneau dans un tord-boyau aussi rude qu'il était sûr qu'il pourrait servir de débouche chiotte dans un bar de Nécropolita un lendemain de fête, c'est pour dire. Il entendit soudain un humain emmerder la Goule, qui restait impassible, buvant son verre tranquillement. Dégustant son alcool dégueulasse, il se mit distraitement à penser à ce qu'il pourrait faire. Soudain, quelque chose, ou plutôt quelqu'un, lui arriva dessus. Un humain, qui renversa sa table et de surcroît son dernier verre. Il voyait plusieurs humains autour de la Goule, pas de doute, c'était un piège, dans l'esprit du Mutant. Les humains ici présent voulaient les dépouillés, ou Dieu sait quoi. Répondant toujours à son instinct qui lui disait « Frappe le premier », il serra son poing de la taille d'un Melon Charentais et l'écrasa avec toute sa force sur le premier gus à portée. Ce dernier se mit à voler, les dents et certainement sa mâchoire volant dans la pièce, pendant que son propriétaire volait à travers une des fenêtres. Se sentant plus ou moins en danger, Théopold hurla comme une bête sauvage. S'ils voulaient sa peau, il allait clairement se battre ! Prenant une des tables comme gourdin improvisé, il chargea dans le tas d'humains, sans aucun doute horrifié de voir un tel énergumène de brutalité face à eux. La Goule, quant à elle, n'était pas en reste, défendant chèrement sa peau face aux Peaux-Lisses. Ni une, ni deux, T-O compris que le Nécrosé serait un allié, du moins pour le moment. Sans forcément rentré dans les détails, le bar fût entièrement détruit, notamment à cause des deux non-humains complètement timbrés. Ils s'enfuirent, mais le Mutant n'oublia pas de prendre une des caisses de gnôle du bistrot déglingué. T'façon le patron pourrait plus se plaindre, vu qu'il avait plus de tête, mais bref …
De la Camaraderie à Chasseur de Primes.Trouvant un endroit où se planquer, les deux bagarreurs de bar ne s'était pas quitté. Picolant plus que de raisons, les deux compères discutèrent de chose et d'autre. Très vite, la Goule, dénommé Seppi, lui disait que s'il cherchait un taf, il pourrait bossé pour la Guilde des Chasseurs de Primes. Il lui fallût du temps pour expliquer comment cela marchait dans ce métier, car il fallait l'avouer, T-O n'était pas une flèche. Mais quant-il eût enfin compris, il était très enthousiaste de commencer. Payer pour démolir des types, le job de rêve ! L'immense brute accepta l'offre sans discuter, et alla voir, avec Seppi, Ab, le patron des Chasseurs de Primes. La Goule voulait bossé avec lui, étant un argument de poids, et surtout de muscles, dans des missions toutes plus ou moins dangereuses. Très vite, T-O montra un réel talent pour la traque, et également pour foutre les pétoches à tous les gardes et pseudos mercenaires des différentes cibles. Le Duo incongru et original rapportait un max à Ab, qui décida de les passés au grade de 1er Classe. T-O s'en foutait royalement, lui ce qu'il voyait, c'est qu'il pouvait désosser des gens, et qu'il était payer très très cher pour faire ça. En plus, il pouvait aller dans n'importe quel lupanars, il était sûr d'être reconnu (en même temps, c'est rare de voir des mutants avec autant de pognon). Seppi lui apprit à utiliser une arme à feu, notamment parce qu'il était tellement surpris de voir que la brutasse qui lui servait de partenaire n'avait jamais utilisé un flingue, sauf pour tabassé quelqu'un, de toute sa vie. Essayant vainement de lui apprendre à tirer, il se résigna à lui laissé utiliser un Gonzalèz modifié pour la carrure du Mutant par son ami Roland. Il ne toucherait pas une cible à 10 mètres, mais avec le caractère et sa tendance à rentrer dans le lard, c'est devenu assez efficace.. Cela fait 10 ans que le Mutant est dans le Milieu, et il espère bien continué ainsi.
~~ HRP~~
Premier compte et j'ai vu de la lumière, alors j'ai ramener mon pote et je suis entré.