Hôpital militaire de Lutèce.
Visite médical du mutant Bérenger DeValence. Citoyen français.
Née le trois août 2042
Bilan physique :Sang avec un taux de globules rouges très élevé, le VEC ayant amplifié les effets de l’alpinisme a haute altitude. Les muscles sont capables de fournir des efforts supérieurs à ceux d’un humain moyen, le coeur tourne autour de vingt pulsations par minute et semble avoir augmenté de volume. Les autres organes aussi si l’on se réfère aux radios, le corps en lui-même est bâti pour favoriser les efforts de longues haleines plus que les stimulations brusques. La taille a augmenté pour atteindre les deux mètres trente pour un poids de cent vingt kilos.
Les yeux sont restés identiques à celui d’un humain moyen alors sa pilosité a disparu, la mâchoire est devenue plus allongée.
La peau a une teinte blanche, un effet secondaire de sa présence dans les Alpes lors de son exposition au Virus a Evolution Contrôlé.
Son corps et sa peau sont marqués par vingt années de service dans la FNF ; la musculature a stagné, mais l'endurance a fait un bond en avant alors que les cicatrices s'accumulaient sur tout son corps.
Bilan psychologique :Aucuns troubles comportementaux n’ont été notés à l’exception d’un bégaiement de type 1. DeValence est quelqu’un de calme, attentif et perfectionniste la plupart du temps même s’il lui arrive parfois des sautes d’humeur. Peu bavard et ne parlant que rarement à cause de son problème c’est quelqu’un qui se distingue plus par ses actes que par ses paroles. Très sympathique avec le personnel alors que, paradoxalement, il puisse se comporter de façon odieuse pour le simple plaisir d’être méchant. Quelqu’un qu’il ne vaut mieux pas se mettre à dos si l’on se fie à son passé de soldat de la république et ses relations.
On peut toutefois noter qu’il déteste qu’on lui rappelle son trouble de l’élocution au point de se battre avec un soldat de garde à l’hôpital.
Lors de sa carrière militaire on l’a décrit comme honnête et calme la plupart du temps, détestant les injustices du quotidien. C'est l'une des raisons qui a dû le pousser à quitter l'armée.
Inutile de l'envoyer en psychiatrie comme le hurle sa voisine à chaque fois qu'elle sort de chez elle.
SPECIAL :Compétence | Strength | Perception | Endurance | Charisma | Intelligence | Agility | Luck |
Valeur | 6 | 4 | 8 | 1 | 6 | 6 | 9 |
S : 6
Bien que Bérenger soit plus fort qu’un humain normalement composé il n’a pas la force d’un soldat en armure assistée ou d’un super mutant.
P : 4
Attentif à son environnement quand il est seul mais facilement distrait par un simple bruit anodin. Il se repose un peu trop sur ses acquis technologiques et quand il n’est pas sur ses gardes il pourrait carrément oublier qu’on l’observe.
E : 8
Un coeur plus fort, un sang plus riche, des poumons plus grands, une peau qui conserve très bien la chaleur. En soi ça paraît anodin mais contrairement aux autres super mutants Bérenger est conçu pour survivre aux conditions climatiques extrêmes.
C : 1
Il bégaie, c’est un mutant à la peau blanche et ne ressemblant en rien aux critères de sa race. Il a une tête d’œuf en plus.
I : 6
Débrouillard et bricoleur, il adore les plantes.
A : 6
Bon tireur, bon réflexe.
L : 9
Une balle de 12.7 l’a frôlé alors qu’il ne se doutait de rien, il a résisté aux rads poulpes de la Seine après avoir malencontreusement glissé et a survécu à de nombreuses batailles. En situation extrême il a une chance inouïe, mais au quotidien il doit s’agir de l’homme le moins chanceux au monde : ses analyses sanguines ont été perdues deux fois, la machine à café est tombée en panne quand il a voulu prendre quelque chose à boire et l’infirmière à louper la veine plusieurs fois avant de la trouver.
Biographie :Chaque objet à ses secrets et son passé, les possessions du mutant en sont riches.
Le plus vieux est une vieille photo du temps où il était enfant à Valence, son père menuisier à sa droite, sa mère infirmière à sa gauche. Les dix-huit premières années de sa vie furent les plus simples et les plus heureuses.
Un diplôme encadré traîne sur une étagère, attestant qu’il avait réussi ses études en énergie avec juste à côté un vieux badge du temps où il était chercheur en énergie pour Triskelis énergie. Un temps nullement regretté durant lequel il vécut dix sept belles années avant le jour du feu.
Une paire de piolets repose sagement sur un support fixé au mur, ils ont vécu une ascension de l’Everest et plusieurs du Mont Blanc avec le lot de risques que cela comporte ; laisser des gens mourir de leurs blessures, en voir d’autres s’éteindre à cause du froid, sans compter ceux qui tombent dans des glaciers. Premier allé sur le toit du monde à vingt huit ans. Ce sera aussi les deux fidèles compagnons du mutant lors de ses errances dans les terres désolées.
Un couteau suisse traîne sur la table de la cuisine, un fidèle compagnon qui date d’avant-guerre et qui a toujours été remis en état. Témoin d’une ascension échouée du Mont Blanc en 2077, de la transformation progressive de son possesseur en un mutant (dont l’objet sera l’un des responsables : en découpant la chair d’un animal contaminé par le VEC, il essuiera la lame avec son doigt et le sang pénétrera par les pores de la peau et une blessure mal refermée).
Une série de clichés prit en octobre 2077 tient place dans un vieil album photo : sa transformation progressive ; d’abord son teint qui devient pâle, la pilosité qui disparaît puis le corps qui grandit à vue d’oeil et enfin la peau qui prend cet aspect si rugueux.
Après le feu atomique les objets à souvenirs sont peu nombreux, mais plus marquants.
Une bouteille d’eau de vie richement ornée et décorée, pas vraiment un objet qu’il s’est trimballé pendant des années car elle a été trouvée dans une brocante. Mais plutôt un hommage a tous les produits alcoolisés que le mutant adorait s’envoyer et qu’il s’envoie toujours. Ce n’est pas un alcoolique mais il ne crache jamais sur un petit digestif, si ce n’est plus, on pourrait aussi citer la quantité effroyable de cocktail Molotov qu’il a élaboré durant ses pérégrinations en France. A noter qu’il remplit toujours la bouteille avec différentes eaux de vies.
Un sachet de graines traîne dans le coin « botanique » de l’appartement ; Bérenger avait pour habitude de passer plus de temps dans des coins à peu près civilisé que sur les routes. Gardien dans des plantations, agriculteur, botaniste, il aura expérimenté à peu près tous les métiers en rapport avec la végétation.
2100, juste ce nombre pour célébrer le nouveau centenaire et accessoirement son arrivée à Paris. Il aura mis vingt trois ans à atteindre Paris.
Un costume traîne sur la table basse du canapé, ce n’est pas tout le temps même, surtout l’ancienne version de son accoutrement de mercenaire qui suit toujours le même schéma : une protection un vêtement et ainsi de suite. Récupérateur, assassin, explorateur, il aura tout fait pour de l’argent.
Une plaque d’identification de la FNF traîne près de la radio, vingt ans à servir fidèlement la république avant de souffrir d’un ras-le-bol profond, sans doutes que la position de la FNF à propos de l’esclavage a bien aidé. Pourtant il reste fidèle à la FNF, pour ce qu’elle a apporté à Paris et pour ce qu’elle voudra bien faire pour les survivants. De ses deux décennies à l’armée il tire la citoyenneté et un petit pécule qui lui servira à acheter un appartement.
Une amulette repose pend comme un fétiche ou un attrape rêve au-dessus du lit quand il ne la porte pas au cou.
C’est un cadeau qu’il porte pour celle qui le lui a offerte : Marie Galland, une métallurgiste de Lutèce qui trempe dans quelques magouilles où Bérenger a servi d’homme de main. Mercenaire, garde du corps, chasseur de primes freelance, récupérateur voir même serveur dans les bars, il aura fait de tout pendant toute ses années.
Le souvenir le plus récent est le nouveau calendrier FNF qui est sur le frigo, l’année 2078 s’avèrera pleine de surprise.
Statut/Rang/Grade/Classe : mercenaire
Faction : STD
HRPAncien(s) ou autre(s) compte(s) : Alphonse, Ophelia, Klauss etc.
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