Métropolitopia, la plus grandes villes des terres désolées de la capitale est secoué par une prise d'otage quelques jours à peine après une terrible épidémie et l'arrivée sur place de la dissidence dans une bataille de pouvoir pour le contrôle des tunnels du métro. Les coupables ont rapidement étés pointés du doigt ! Les illuminés, cette secte extrémiste de goule agissant dans l'ombre depuis bien des années semble avoir choisit le cœur même du plus grand refuge de l'humanité dans Paris pour porter le premier coup.

Une cellule de crise composé des puissances en place à été créer dans le plus grand secret aux premières heures de la crise, le problème semblait simple. Deux preneurs d'otages accompagnés de robots de guerre menaçaient de provoquer un effondrement de la cité grâce à de puissants explosifs. Simplement les conflits attisés par la cupidités de chacun quand à la défense de ses intérêts sont la signature de leur perte, incapables de trouver un terrain d'entente, le Trident la milice et la dissidence malgré leurs efforts ne sont pas parvenus à déjouer la véritable menace...

Le moment semblait être venu pour les ravisseurs qui, laissant les otages à un sort incertain, prirent la fuite par une ancienne galerie sans se douter qu'ils risquaient d'être vus par Caron Hugues, Lazare et Romain Lechevallier dans l'obscurité du dédale.

Convaincue par Hervé Boullard la cellule de crise et la majeure partie de la population s'est déplacée par une zone déclarée "sûre". Grâce à une enquête menée par Lino Martinez, il à été démontré que les ondes radios susceptible de déclencher de nouvelles explosions ne s'étendait pas sur l'ensemble de la ville. La population en grande partie à l'abri, le système de sécurité anti-atomique du métro à été réactivé, isolant la zone sûre tout près des sous-sols de l'usine raddaple derrière une immense porte d'acier portant le sigle de Triskellis énergie.

Le plan se déroulait comme prévu pour la secte décharnée. En effet, à peine la porte fermée et les cris de panique apaisés. L'activation de l'éclairage fut suivi d'une courte série de détonations libérant un épais miasme ocre dans l'air. D'innombrables spores venaient d'être lâchées sur la population. Déjà les premiers individus contaminés par l'infection végétale radioactive commençait à souffrir d'étranges démangeaisons ...