Nom: Wu Xhieng

Prénom : Francis dit "Wu"

Race : Humain

Date de naissance : 3 Mars 2155 au marché de la gare


       Description physique : De l'élégance d'avant guerre à l'arrogance des hautes sphères républicaines, Francis mets un point d'honneur à soigner son apparence. Fier détenteur de costumes excentriques repris selon ses propres mesures et d'un peigne ayant appartenu à une star du cinéma Français d'avant guerre, il arbore une crinière brune et lisse à quelques 178 centimètres du sol crasseux qu'il foule d'un pas assuré et quelque peu méprisant, peut importe le quartier traversé.

       Profil Psychologique : Il ne possède pas de réelles notions de famille ou d'amitié, envoyé entre différents membres de sa famille durant sa jeunesse en raison d'un comportement ingérable, Francis à des objectifs et c'est à travers d'eux qu'il choisit alliés et adversaires. Fidèle à l’extrême dans le déroulement des opérations plus ou moins commerciales du trident, il n’hésiteras pourtant pas à trahir avec une finesse exceptionnelle dans le but d'arriver à ses fins. Peu scrupuleux et égoïste, le jeune homme se trouve sous estimé et désire dans son appétit et sa fougue toujours plus que ce qui lui est offert. C'est uniquement grâce à ses talents de manipulateur et à une efficacité tout de même présente qu'il parvient à survivre dans un univers où un simple regard de travers peut être récompensé par un coup de couteau à la rate derrière un Wagon de Metropolitopia.

SPECIAL :

Compétence	Strength	Perception	Endurance	Charisma	Intelligence	Agility	Luck
Valeur	4	6	4	6	5	7	8

       Biographie :  Avant l'invasion communiste, plusieurs membres de la famille Wu Xieng se sont réfugiés  au sein de la capitale française, moyennant divers renseignements militaire contre une possible naturalisation. Mal vu par les parisiens d'origines et même par d'autres de leurs compatriotes asiatiques en raisons d'affaires douteuses concernant la famille, les Wu Xhieng se virent dans l'impossibilité de s'adapter et commençaient à regretter leur choix. La suite des événements mena Li Mo Wu Xhieng à trahir sa nouvelle patrie en apportant une aide conséquente aux espions chinois présents sur le territoire. L'arrestation de Li Mo prévue par les services secrets fut mise en place après collaboration d'autres membre de la famille en échange de places au sein d'un des nouveaux abris en construction.

Li Mo ne fut jamais arrêté et seul un couple Wu de Xhieng fut placé en abri avant le jour du feu. Pour marquer la différence avec leurs triatres de cousins et par peur de leur passé, ils commencèrent à donner des prénoms français à leurs enfants, à l'image d'autres familles de leur communauté.

En 2178, la famille est toujours présente à Paris:

Francis est né du travail de 13 heures de Félicie Tiang dans un dépôt de matériel du marché de la gare adapté pour l'occasion. C'est au milieu des poissons entassé sur les bruyants établis réfrigérant qu'il fut élevée à l'abri des clients et marchands plus bruyants encore, dernier modèle d'une gamme de trois garçons et une fille. Non désiré mais apprécié par ses frères, l'enfant fut longtemps laissé de côté la vie au marché étant trop épuisante avec une grande famille à nourrir.
Francis passa ainsi sa petite enfance à se nourrir de bouillie de poisson, à fabriquer ses propres jeux avec des pièces détachées de wagons et à se battre avec les autres enfants pour les conserver.

En 2165 alors que Francis, hors de contrôle, multipliait les vols et les agressions en bande sur les clients, son père Henri fut emmené par la toute nouvelle FNF pour avoir tenté de soulever plusieurs communauté dans un élan de violence contre la ville de Lutèce. Sa mère ses frères et sa sœur étant indépendants financièrement, ils choisirent de se séparer du jeune Francis trop turbulent, le temps qu'il soit apte à travailler au marché. Francis Wu Xhieng fut envoyé chez Li Mo Wu Xhieng à Nécrotopia, ce changement d'environnement allait se révéler décisif pour l'avenir d'une jeune garçon.

A Nécrotopia Francis était le seul enfant et baigné dans un monde brutal de vice et de machinations : l'aristocratie goule. Élevé dans les traditions chinoises d'avant guerre, battu par son ancêtre au moindre pas de travers, Francis appris, à l'image d'autres des siens, la discipline les arts martiaux traditionnels, la langue natale et fut soumis à un certain bourrage de crâne communautariste basé sur les méthodes de propagande communiste. Bon élève dans toutes ses disciplines et garçon cultivé, Francis n'attendait toutefois qu'un signe, une toute petite opportunités pour quitter Nécrotopia et la pestilence des goules qui n'était pas sans lui rappeler celle des poissons restés trop longtemps sur les quais du marché.

Vivant sur pause, en l'attente d'un miracle tombé du ciel Francis tomba bien évidemment dans le premier piège venu. En 2172 un homme de Métropolitopia venu vendre différents produits médicaux aux goules bourgeoises proposa un marché à Francis, il lui confiait une partie conséquente de son stock que le jeune homme devait écouler avant le départ du commerçant, il recevrait en échange 10% des bénéfices et un possible emploi dans la ville sous-terraine.
Le jour même Francis se faisait agresser et perdait toute la marchandise. Le commerçant en guise de représailles le força à lui fournir une énorme somme d'anneaux appartenant à Li Mo. La goule enragée manqua de le tuer sous la fureur de ses coups, Francis fut finalement bouclé plusieurs heures dans une pièce irradiée de Nécrotopia avant que son ancêtre ne décide de lui laisser la vie sauve. C'est un descendant malade et affaiblit qu'il envoya à Metropolitopia récupérer son argent, menaçant de le tuer lentement et douloureusement s'il revenait les mains vides

Les premiers jours de Francis à Metropolitopia furent bien loin de ce qu'il pouvait attendre d'une nouvelle vie indépendante. Malade et blessé, affamé et malodorant même pour les critères locaux, il fut forcé un temps à mettre toute dignité de côté pour parvenir à rassembler assez d'anneaux pour survivre en attendant de pouvoir s'offrir les soins de la clinique du docteur Radolphe.
Se nourissant une à deux fois par jour de chair de raliéné vendu par la jeunesse Metropolitopienne, couchant sous les wagons ou près des machineries pour rester au chaud, il lui fallut deux semaines entière avant de pouvoir obtenir un traitement contre les radiations, et une autre pour être de nouveau sur pieds.
Un soir glaciale parmi tant d'autres à chercher la chaleur pour une nuit de sommeil, il fut témoin, d'une agression tournant au meurtre, perpétuée par trois hommes dont le commerçant qui l'avait forcé à voler Li Mo. Les retrouvailles manquèrent de peu de tourner au massacre mais à force de chance et de pirouettes rhétoriques, Francis parvint de justesse à forcer les hommes du trident à se limiter aux coups de poings. Au lieu de chercher à récupérer ses anneaux ou même à se venger, Francis semblait reconnaissant envers l'homme qui lui avait permis d'enfin quitter la ville des goules, il chercha même à obtenir un poste dans l'organisation mafieuse.
Le jeune asiatique n'était malheureusement pas à la hauteur des ambitions mafieuses, de nouveau blessé, il fut laissé sur place après une série de menaces. Lorsque les miliciens arrivèrent sur place, ils ne purent qu'en déduire qu'un affrontement entre Francis et l'homme abattu avait mal tourné, il fut immédiatement placé en détention. Sa petite cellule lui permit toutefois de rester au chaud et de bénéficier d'un apport en nourriture bien moins coûteux et suffisant pour éloigner de son esprit toute idée d'évasion. Malgré tout ces avantages, jamais Francis ne révéla ce qu'il avait vu cette nuit là, au bout de cinq jours de détention, il fut remis en liberté avec ordre de quitter la ville.

La surface se présentait à nouveau à lui, pas moyen de retourner à Necrotopia et hors de question de  retourner au marché de la gare. Le jeune homme déterminé mais conscient de la situation désastreuse dans laquelle il s'était mise envisagea l'espace d'un instant de tenter de trouver une place à Lutèce et pourquoi pas au sein de la FNF. C'est l'un des hommes du trident de l'autre nuit qui fit à nouveau basculer son destin. Lino Martinez était venu seul et en personne à sa rencontre, le félicitant d'avoir sut tenir sa langue même si la milice n'aurait sûrement pas put faire grand chose. Il ne lui offrit pas l'opportunité de rejoindre l'organisation mais sa protection face aux ordres d'exil et autres désagréments. Francis allait ce jour, commencer à travailler pour lui à la fois pour faire ses preuves et pour se familiariser.

Grâce à Martinez, la vie à Metropolitopia devint plus agréable, Francis avait obtenu une couchette dans un wagon commun et les anneaux qu'il gagnait restaient conséquent même après deux repas par jours. Le jeune parisien commençait à se faire un nom dans son quartier, des alliés et des adversaires. Il augmentait son capital en faisant son propre fond de commerce parallèlement à celui imposé par Martinez et finit même par se lier d'un semblant d'amitié avec Yves Man, sa femme et son élève. A force de travail et malgré un caractère forgé et une tendance aux cachotteries et aux machinations, Martinez finit par le faire entrer dans la mafia Parisienne après que Francis eut enfin réussit à rembourser son oncle.

Statut/Rang/Grade/Classe : Homme de confiance
Faction : Trident

Reprends ton perso en lui donnant une origine autre que Communiste ou sioniste et je lirais peut être

-> "Pour marquer la différence avec leurs traitres de cousins et par peur de leur passé, ils commencèrent à donner des prénoms français à leurs enfants, à l'image d'autres familles de leur communauté."

Je valide.
L'avatar colle parfaitement au personnage.

Mais ....

Je vois que tu t'es reconnecté récemment. Pour moi c'est bon, je comprends pas que ça ait pas progressé plus que ça. Mais que fait le staff ?!

Complète ton profil et fait ta fiche Rp avec ton inventaire, etc. Avec les liens et ton special, ton profil. Poste ici ou MP moi quand c'est fait. En cas de problème, si tu piges pas comment faire, même sentence : poste ici ou MP moi.

Je pense que tout est ok.

Bon, pour moi, c'est bon. J'te fais pas languir plus longtemps.

*coup de tampon*