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 Faites vos jeux

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Zoé
Zoé "Akhaten" Grégeois
MessageSujet: Faites vos jeux   Faites vos jeux I_icon_minitimeMar 17 Juin 2014 - 21:08


« -Qu'est ce que je vais faire de toi ? se demanda Zoé à voix haute. »
Puis lui vint une idée, suite à la catastrophe survenue à Métropolitopia, un camp de réfugié avait vu le jour non loin de Lutèce. Il était tenu d'une main de fer par la FNF, mais tout le monde savait pertinemment que le Trident y avait gardé certains intérêts. La Malebranche avait connu quelques déboires avec cette mafia par le passé et n'était pas très amatrice de leurs activités, sauf que depuis la mort de Franck Ballard, qui n'était pas passée inaperçue, plus rien ne l’empêchait de faire affaire avec eux. D'autant qu'ils avaient des méthodes parfois très ingénieuses pour éradiquer leurs ennemis.

Suite à la mauvaise piste sur laquelle l'avait lancé H le dealer de psycho, elle avait perdu de vue son couteau et gardé une certaine frustration à son égard. Au vu des incapables avec qui avait été enfermée Emily, il était presque sur qu'elle aussi avait des rapports plus ou moins direct avec le chimiste et que ceux-ci avaient mal tournés. Zoé voulait profiter de la situation pour voire si le Trident et elle ne pouvaient pas s'entendre et puisque son ancien jouet était revenu au près d'elle, pourquoi ne pas en profiter pour s'amuser un peu.

On disait qu'il y avait au centre du bidonville un lieu ou même la FNF n'osait pas d’aventurer : le Trou. Affublée d'un collier d'esclave tout neuf et de ses magnifiques cicatrices, la maquerelle ferait un gladiateur parfait. C'était aussi l'occasion de la tester car plus le temps passait, plus la Malebranche avait tendance à s'attacher, contre son gré, et peut être qu'un jour elle lui trouverait une véritable utilité. Après tout, les deux femmes semblaient liées par un destin commun et les sévices subit par Emily avait parfaitement fonctionné en remplaçant la haine qu'on aurait pu imaginer par une forme d'amour malsain très plaisant.

En effet, le Trou était tel qu'on le lui avait décrit. Au milieu de taudis recouvert de crasse et de merde abritant des gaillards plus piteux et malades que des goules sauvages, le Trident avait pris ses quartiers autour d'un bassin asséché faisant office d'arène. C'était la plaque tournante de tout ce qui ne tournait pas rond dans les parages, aussi bien des truands de bas étage que de pauvres types venus dépenser leur maigre salaire en passant par des membres discrets de la résistance se réunissaient ici pour manigancer ou oublié leur triste vie. Il y avait un brouhaha permanent, mais l'agitation se concentrait sur les combats qui faisaient rage au fond du trou.

Tout à coup, dans la foule, une explosion de joie retentit, un homme d'une quarantaine d'année ne parvenait plus à contenir son plaisir d'avoir gagné. Il venait de se refaire pour au moins deux jours grâce à un pari risqué mais fructueux. Zoé et Emily l'approchèrent pour lui faire quelques promesses de bons moments comme savait déjà si bien le faire la maquerelle et lorsqu'il fut entrainé dans une ruelle plus sombre que les autres, la tatoué fit mine de l'embrasser dans le coup, puis lui arracha l'artère d'un coup de canif avant d'avaler goulûment quelques gorgées de son sang encore chaud. Sans un cri le pauvre homme s'écroula dans son sang en éclaboussant la complice de la démone dont le menton dégoulinait de rouge.

Après l'avoir dépouillé s'être essuyée le visage d'un revers de la manche, Akhaten approcha de celui qui semblait organiser les événements et lui présenta sa combattante. Il l'observa avec attention et habitude avant de déclarer :
« -Elle n'a pas l'aire très solide, vous devriez prendre sa place ma jolie.
-Elle est beaucoup plus forte que tu ne le crois, laisse la combattre.
-Très bien, mais ça fera 10 A.
-Les voilà.
-Hum, vous êtes consciente que si elle perd, elle mourra sûrement ?
-Je suis sur que tu as un moyen très lucratif de te débarrasser des cadavres.
Le bookmaker eut un petit sourire.
-Ça marche, vous voulez miser quelque chose sur elle ?
-Voici 90 A, c'est tout ce qui me reste.
-M'est avis que si vous continuez à jouer comme ça vous finirez par m'appartenir aussi ! »
Il éclata de rire et indiqua aux filles le chemin des vestiaires.

Appeler ceci vestiaires était une plaisanterie. Dans ce lieu où des esclaves aussi corpulents que des super-mutants et des radcaniche enragés s'échauffait, il y avait plus d'armes et d'armures que dans le QG de la FNF lui-même. Sauf qu'ici le dernier cris en matière de technologie n'était rien d'autre que des pièces de métal déjà rouillées avant le jour du feu.
« -C'est à toi de jouer ma chère, encouragea la Malebranche. Si tu as besoin de moi je reste ici jusqu'à ce que tu sois prête. Je compte sur toi, mais je sais que tu ne me décevras pas. Tu vas certainement commencer par combattre des faibles, mais surtout n'oublie pas : c'est gagner ou mourir. Fais ton choix. J'ai du psycho si tu veux, mais trouve toi d'abord un équipement qui te convient, je vais te montrer les manœuvres de bases au corps à corps. »

HJ:


Dernière édition par Zoé "Akhaten" Grégeois le Ven 1 Aoû 2014 - 17:37, édité 1 fois
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Emily Baker
Emily Baker
MessageSujet: Re: Faites vos jeux   Faites vos jeux I_icon_minitimeMer 18 Juin 2014 - 22:29

La cage qu'elle avait quitté semblait soudainement étrangement douillette et agréable, tout d'un coup. Là bas,elle pouvait se contenter de crever au soleil en profitant des joies de la déhydration. Elle aurait halluciner un bon coup des éléphants bien membrer avant de crever d'une balle dans la nuque, ou dans les ovaires, pourquoi pas. Au moins, elle n'aurait pas eut à tolerer l'odeur charactéristique de la sueur virile. Son morale plombait dèja à vive allure, et son language corporel se tachait de le prouver au monde. Ses poings étaient serrer contre ses hanches, ses dents grincaits à tel rythme qu'ici deux heures, elle aurait une dentition qui aurait fait envier la plupart des molosses post apocalyptique.

Elle ne pouvait tout de même pas se refiler. De un, le collier qui lui enserais la nuque l'empechais de fuir, de deux, son orgeuil démessurer ne lui permeterais pas de survivre un tel honte et de trois, elle voulais s'attirer les bonnes faveurs de la malebranche.Elle qui avait fois en elle, elle qui avait miser gros sur sa performance. Elle qui l'avait transformée en la splendide folle furieuse qu'elle était. Et puis bon, on devait voir les choses du bon coté, avec un peu de chance, les affrontements de la journée lui permettrait d'assouvir, dans les meilleurs cas, ses pulsions sadiques, et dans le pire des cas, elle se découvrerait peut être un coté masochiste. Dommage qu'il n'yai pas de cravache dans se ramassis d'armes plus que pathétique.


Justement, la maquerelle s'approcha de ce qui fesait office de ratellier. La british savait ce battre, la boxe était, après tout, une glorieuse invention des anglais, mais ses petits poings et sa masse musculaire moins qu'imposante ne fesait pas le poid contre les métaux rouillés. Elle devrait s'abaisser à une telle barbarie..tout pour satisfaire celle qui la détenait. Son regard baillaiya le présentoir pendant quelque instant, avant que de trouver un duo d'arme qui satisfesait ses besoin. Un poing américain,relativement rouillé, et une machette qui avait le tranchant d'un gourdin. Super. Les armes semblait lourdes dans ses mains, ce qui offrait presque un réconfort chez la maquerelle.

Elle jetta un regard vers les armures, et manqua de gerber à l'idée de porter un ramassis de peau et de casserolles comme armure. Emily Baker était une femme qui tenait à son image, elle était une femme qui allait marqué l'histoire des combats illégaux avec sa stupidité ! Elle autait une des rares femmes dans le vestiaires mixtes, ce qui lui vallait quelques commentaires déobligants, commentaires auxquelles elle répondait avec une langue des plus pointu. Parfais, cela la rendait vénère, très vènère, ce que la malebranche semblait appréciez.

Malebranche qui lui offrit des cours de base sur le combat, qu'elle refusa. Tu frappes jusqu'a ce que le mec pleure sa pathétique vie et pisse le sang du cul. Simple. Comme la vie en fait. Tu sors du vagin de la maman, tu fais le parasite quelque année, tu baises, tu butes un moment, la joie, tout sa. Puis tu te fais parasiter, et tu creve. Fastoche.


Le duo porteur d'ovaires attendit un moment dans le vestiaire, la maquerelle fesant craquer ses articulations dans un réflexe nerveux, et puis, la mélodie de ses articulations étaient assez agréable à l'orreille. Après une attente quasi interminable, où elle attendait dans le silence, ne sachant pas comment s'adresser à la malebranche, leur relation était encore trop flou pour qu'Emily ose parler de ses cycles prémenstruel, un garde portant un gilet en kevlar et un joli fusil d'assault chinois vient chercher l'esclave improvisée pour la trainer par le bras vers l'arêne. Apparament, on se foutait un peu du bien être des gladiateurs.Parfais. Elle se foutait bien de leur intégrité physique, c'était de bonne guerre après tout.


L'arêne était rudimentaire. Un trou. Avec des murs. Et des taches de sang plus ou moins fraiche en accesoires. Elle aimait bien la déco, quoique elle aurait ajouté quelques cadavres en train de baiser à droites et à gauche, quoique c'était peut être la faute à ces pulsions nécrophiles qu'elle n'avait evidement pas. Son adversaire l'attendait dèja , enfin, il ne l'attendais pas en tant que tel, le gladiateur adverse avait l'air plutôt occuper à suplier qui voulait bien l'entendre. Il n'était evidement pas volontaire, comme le prouvait le joli collier qu'adornait son cou. Il osait même tourner le dos à la maquerelle. Ce qui la foutait en colère.


La foule gueulait, pestait, jurait, chantait. Leur cacophonie emplissait l'air. Des vies reposaits sur ce combat. Des familles creverait ou s'enrichisserait. Elle s'en foutait. On lui tournait le dos. On ne lui tournait pas le dos. Jamais. Quoi ? Il la prenait pour une merde ? Innofencive ? Elle allait lui montrer. On ne sous estimait pas Emily Baker. Elle pris une grande insuflation, ferma les yeux un instant, et fit aller ses cordes vocales, dans sa langue maternel, pour un effet optimal.


-HEY YOU PIECE OF SHIT. DON'T YOU FUCKING DARE TURNING YOUR BACK ON ME !

La langue anglosaxonne avait eu un effet sur la foule. On se jetait des regards d'incompréhension, après tout, qu'avais baragouiner cet frêle esclave ? L'attention était sur elle. Elle aimais. Son frêle adversaire la fixait, ses yeux la fixant, son faciès exprimant une peur des plus puissante. Après tout, la maquerelle n'avait pas l'air d'une bonne soeur. Il tremblait, ses mains crispées sur le gourdin qu'il lui fesait office d'arme. Les pièces de tôles qui lui servait d'armure s'entrechoquait dans un tonnerre assoudisant. La maquerelle marcha vers lui, tranquillement,contenant sa frustration de peine.

-Are you scared ? By the little crazy brit ? Scared by a girl ?

Elle avancait, s'imaginant dèja le massacre qu'allait s'en suivre. La bouche de l'homme bougait, mais aucun son n'en sortait. Elle souriait, où du moins, elle tentait. À 5 mêtres de lui, elle s'arreta et cracha au sol.

-Come on. Frappe.Try.


Elle ouvrit les bras, et l'invita à frapper, dans une ruse aussi subtile que l'erection d'une goule. Rien. Nada. Il tomba même à genou, son gordin tombant au sol. Tu déconnes ? Il se mit à la supplier, à prier sa pitié. La foule bouait et hurlait. Elle voulait du sang. Emily voulait du sang. Elle s'approcha, un sourire bénévolant sur le visage. Elle fit mîne de lui tendre la main, avant de se réaviser, et de plutôt lui tendre son genou dans le visage. Il s'écroula, se tenant maintenant le nez brisée, qui pissait le sang.

Elle avait toujours sa machete dans les mains. Machette qui vient assez rapidement s'abattre sur le corps de l'esclave pasifiste. Elle tapait sur tout ce qui saignait, sans vraiment visée d'organes vitaux, à part peut être l'entrejambe. Elle tapais, souriant, sur l'homme qui ne se défendait point. Elle tappait, il bougait plus. Elle tapais, ses bras lui étaient douloureux. Elle tapait, elle ricanait. Elle tapais. Elle voulait un fix.

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Zoé
Zoé "Akhaten" Grégeois
MessageSujet: Re: Faites vos jeux   Faites vos jeux I_icon_minitimeMer 25 Juin 2014 - 0:51

Akhaten était remontée pour rejoindre la foule. Elle se tenait contre la barrière, de là elle avait une vue parfaite sur le combat, mais gardait aussi un œil sur le stand du bookmaker et une table où discutaient des hommes en costumes trois pièces raccommodés. Le combat fut rapide et très inintéressant, pourtant le publique avait apprécié cette effusion gratuite d’hémoglobine. En tout cas, Emily était plus motivée que jamais, ce qui était plutôt encourageant. Attention tout de même à ne pas s'enflammer trop vite, ce genre de combat avait la fâcheuse tendance à commencer en beauté et à s'achever brutalement dans le sang et les larmes. La puissances des adversaire allait être exponentielle et justement le prochain s'annonçait.

A la table des dandys, une dispute éclata. Elle n'était pas assez virulente pour voler la vedette au trou et à Emily, mais on pouvait facilement deviner qu'elle tournerait mal très vite. Le ton haussait, les point se serraient et les regard s’aggravaient à l'encontre de l'un d'entre eux. De loin et sans le son, Akhaten pensa qu'il s'agissait surement d'une querelle de tricheurs du Trident; dommage, elle serait volontiers allé à leur rencontre pour en apprendre plus sur le triste sort de Franck Ballard et sur de potentiels intérêts communs entre la mafia et les Malebranches.

Pendant ce temps, on préparait, pour la combattante en furie dans la fosse, le prochain adversaire. Ce n'était pas un radcaniche mais deux qui s’apprêtaient à lui faire passer un sale quart d'heure. Ces deux là se bouffaient presque déjà le nez, ils étaient clairement atteint de divers infections dont la rage, mais aussi la gale et un mal des radiations très avancé. Leur dégaine maigrelette pouvait prêter à sourire, mais leurs crocs dénués de babine et leurs grognements roques calmaient immédiatement toute pulsion comique. Pour le moment, on les tenait au bout de fines chaines en les énervant comme il le fallait à coup de piqures et de chocs électriques, une fois lâchés, ils seraient absolument incontrôlables et se jetteraient sur le premier morceau de chaire à leur portée.

Comme prévu, les tricheurs étaient montés sur leurs grands chevaux. Deux d'entre eux se tenaient par leurs cols de chemise respectifs en vociférant des insultes plus exotiques les unes que les autres. L'agitation commençait à attirer l'attention; sans plus, c'était une scène banale de la vie quotidienne du trou. Et tendis que le troisième faisait mine de s'en aller sans demander son reste, les deux autres se tournèrent vers lui de concert. Il y avait une étincelle de cruauté dans leurs yeux, il se lâchèrent pour lui attraper chacun une épaule et vinrent le plaquer contre la barrière de la fosse au combat en continuant leur poème de grossièretés. Ils criaient fort, la foules ne savait plus trop quel spectacle regarder, mais au moins il était maintenant claire que l'homme le plus mal positionné avait faussé les cartes.

Motivés par la violence ambiante, les cabots poussaient leurs aboiements dans tous les sens. Zoé ne le montrait pas, mais elle était en train de bouillir intérieurement, finalement quelle mauvaise idée de venir ici ! La situation était en train de prendre une tournure imprévisible et il y avait ce mauvais pressentiment persistent qui lui faisait tourner la tête. Elle n'était pas dans son élément ici, malgré quelques similitudes, "le monde est fou" se dit-elle, ce qui du point de vue d'un habitant du bidonville aurait pu sembler très paradoxale. C'était l’hôpital qui se foutait de la charité !

Les chiens furent lâchés et au même instant le fraudeur passa par dessus bord. Il tomba sur le dos, juste à côté du cadavre de l'esclave précédemment massacré, les chiens reculèrent d'hésitation avant de se jeter sur lui. Il n'était pas le premier incapable venu, ainsi grâce à quelques coups de pied bien distribués, il pu s'en défaire et se redresser d'un bon. Emily et lui était côté à côté, elle armée de sa machette et lui d'une matraque télescopique. Les radcancihes était bien loin d'avoir eu leur compte et se préparait déjà à charger de nouveau. Le publique était en extase, il hurlait à la mort, pour lui ne devait rester qu'un seul survivant, c'était la règle. La tatoué quand à elle posait un regard très intrigué sur la scène, elle chercha à capter celui de son jouet pour lui faire comprendre qu'elle ne devait pas avoir de pitié, mais aussi qu'elle était lassée et voulait en finir au plus vite.

Spoiler:
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Zoé "Akhaten" Grégeois
MessageSujet: Re: Faites vos jeux   Faites vos jeux I_icon_minitimeVen 1 Aoû 2014 - 17:22

La gladiatrice ne bougeait pas, pourtant c'était le moment ou jamais si elle voulait vivre. Les molosses ne se retinrent pas plus longtemps, ils bondirent chacun sur l'homme en costume, les babines retroussées et les crocs devant. Dans la précipitation, celui-ci arma un puissant coup de matraque jusque derrière lui et en voulant frapper les radcaniches à l'horizontal, il cogna dur la tête d'Emily du bout de son arme qui tomba à la renverse et ne se releva plus, trop sonnée pour réagir. Les chiens n'eurent aucune difficulté à en finir avec leur première victime dont le visage fut déchiqueté.

Akhaten paniqua en voyant son jouet cassé de la sorte. Il n'y avait pas de véritable règlement dans ce genre de sport, mais elle estima le combat invalide, les bêtes n'ayant plus qu'à se servir en viande fraiche. D'un bond au dessus de la barrière elle sauta dans le trou en s’arrangeant pour atterrir sur le coup d'un premier radcaniche. Le choc fut lourd et le résultat immédiat, dans un craquement morbide, la nuque se brisa et la tête bascula en arrière. C'en était trop pour la misérable créature qui mourra instantanément, c'en était aussi trop pour la guerrière et son agilité légendaire. Elle trébucha et manqua de se ramasser la gueule dans la bout en faisant quelques pas rapides et maladroits. Son tomahawk déjà dans la main, elle chercha hâtivement son second adversaire en tournant la tête de droite à gauche et l’aperçu juste à temps. Visiblement très en rogne il attaqua à la gorge la psychotique qui n'eut pas l'opportunité d'agir. La bête de quatre-vingt kilogrammes s’abattit sur elle comme une pierre lancée par un super-mutant. Ses grognement devenait le seul son audible avec les cris de la foule en délire. La mêlée dura près d'une longue minute sans qu'on puisse définir qui avait le dessus, mais au bout du compte le chien cessa de bouger, étrangler avec le manche de l'arme de Zoé.

Le publique criait, il était complètement hors de contrôle. D'un côté les amateurs de belle joute manifestaient avec beaucoup d'entrain leur excitation, de l'autre les parieurs hurlaient à l'invalidation du combat et au milieu les hommes de la sécurité du Trident tentaient de maintenir un semblant d'ordre. Plus personne ne prêtait vraiment attention à ce qu'il se passait au fond du trou, la psychotique en profita pour tirer son alter ego à l'abri. Le temps qu'elle passe par le vestiaire où les combattants ne trouvaient rien à redire, les spectateurs devenaient incontrôlable, la plus petite étincelle aurait fait exploser une bagarre générale mémorable. Akhaten ramassa un pavé et le balança au milieu des hooligans en puissance. Il atteint dans le dos un pauvre homme qui se plia de douleur avant de décocher un violent upercut dans le menton de son voisin de derrière. Une chose en entrainant une autre, celui-ci répondit, et ainsi de suite jusqu'à ce que tous se mettent joyeusement sur la tronche.

Les deux psychotiques étaient déjà sorties du bidonville lorsque le Trident réussi enfin à rétablir l'ordre, à coup de surin si il s'en fut. La maquerelle sorti légèrement de ses vapes. Zoé lui dit qu'elles avaient assez joué pour l'instant et qu'il était temps de passer aux choses sérieuses. A cause de sa blessure à la tête, elle ne comprit pas très bien ce qui était en train de se produire et lui indiqua le chemin d'un lieu sur en attendant que les choses se calmes dans les parages : son bordel.

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